Du beau monde pour Dimanche, le meilleur titre du nouvel album de The Limiñanas, Shadow People.
Son du jour - page 45
En vérité, la Belgique est un pays de cocagne qui révèle une fois de plus un diamant aux milles facettes, Claire Laffut.
Helluvah en français ! Non vous ne rêvez pas ! Pour Orelsan, La fête est finie. Pour Helluvah, elle se prolonge jusqu’à l’ivresse au bout de la nuit.
Alors qu’une école de sirènes ouvre à Meyzieu près de Lyon, Vanessa Philippe dévoile, Not a Siren Song, un premier extrait de son futur album à paraître le 23 mars, A l’abri du vent.
Gontard! nous avait uppercuté le cerveau avec son précédent Repeupler et ses chansons hybrides post tout.
Après nous avoir fait voyager en Limousine, Brainbow revient avec Tellurisme, un deuxième extrait de leur album à paraître chez Archipel le 6 avril.
YOU, VICIOUS! interpelle déjà avec son nom à la façon des ados qui portent des casquette Obey sans en connaitre la provenance.
Cyril Mokaiesh vient de sortir un nouvel EP après son très beau Clôture l’année dernière. Il poursuit sa quête humaniste avec un titre optimiste qui fait du bien et redonne confiance en l’autre, une ode aux « petits princes d’aujourd’hui, aux femmes de demain », à l’avenir de géant que l’on se construit. Émotions.
Don Glow ravive la flamme rock face à la déferlante électro du moment avec un son puissant et polisson dans un premier album revigorant, The intention Flow sorti chez Casbah Records.
L’argent n’a pas d’odeur mais certainement de la couleur et de la fureur avec le nouveau titre de Red Money, Lies !
Si l’on devait désigner un EP de l’année, cela serait assurément ces quatre titres fulgurants des angevins de VedeTT qui ont tout à gagner avec ce Losing All à la terrible beauté. On est ensuqué de bonheur avec le plantureux It seems to be natural entre spleen et idéal.
Theo Lawrence & The Hearts sera assurément l’une des révélations de cette année avec un premier album très réussi, Homemade limonade à paraître le 9 mars chez BMG.
Altavilla vient de sortir son deuxième album, The conquest of gravity d’où est extrait ce lyrique Echoes.
Dans l’un des plus beaux textes de la littérature française, Les chants de Maldoror, Lautréamont écrit, « j’ai reçu la vie comme une blessure et j’ai défendu au suicide de guérir la cicatrice. »
Bon, on n’a pas encore eu le temps de trop se pencher sur l’album de Dragon Rapide (quel nom ! ), See the big pictures qui vient de sortir chez Freemount Records et Differ-ant car il mérite une écoute attentive pour que se dessine cette grande image.
SK* avait beaucoup plané avec le premier album des californiens suisses Cosmic Fields.
Deuklo est un mystère. Originaire comme OrelSan d’Alençon, il est proche des Casseurs Flowters et on l’aperçoit dans Comment C’est Loin et dans la série Bloqués.
On avait beaucoup aimé la majesté du ciel d’octobre de Gris Lagon. Il dessine l’esquisse d’un sourire exquis que rien n’éclipse avec ce nouveau titre et une vidéo pour une relation solaire.
Une belle et une bête s’enlacent pour une danse amoureuse pendant que le loup n’y est pas.
Plus de lumière que d’ombre pour KØS, le jeune duo lyonnais qui file la gaule à Lugdunum.
A Lyon, on connait les potins d’Angèle. Sur SK* on a découvert Angèle avec La loi de Murphy et ses désormais 4 339 279 de vues.
Le Spectre hante nos nuits. Why her se demande t-il ? Pourquoi elle et pas une autre ? Est-ce une malédiction d’aimer ? Sans doute.
S’appeler Lavie et sortir en mai dernier un disque nommé Bedroom crimes. Car c’est dans l’intimité de la chambre à coucher que tout se noue et se dénoue.
Trois E à Teeers pour désormais quatre lascars au groove ravageur.
T2i n’est ni un appareil photo, ni un ordinateur antique de chez Thomson. T2i fait le pont entre la dense forêt guyanaise et les terres à bulles rémoises.
Homa, c’est Alexandre Barberon, un pianiste franco américain qui apprécie autant Scriabine que Robert Wyatt ou plus proche de nous, MGMT.
Qu’aime t-on dans les histoires d’amour ? Les débuts, les rencontres. Ces brefs moments magiques où tout se noue, se cristallise.
Mortel(le) Fishbach ? Assurément. Mais elle a pourtant survécu aux turbulences du succès depuis la sidération inouïe du printemps de Bourges 2016.
Après les derviches dansants du superbe Aux échos, Evergreen revient avec Tongues, un gospel 3.0 calibré pour le dance floor.
Le I don’t wanna go de Charlotte & Magon serait-il une réponse cachée au in the army now de Status Quo ?