Max Richter jouant In a Landscape avec un quintette à cordes Schubertien dans l’écrin du théâtre antique de Fourvière relevait de l’évidence. L’allemand champion du voyage immobile et du lyrisme limpide a hypnotisé Les Nuits de Fourvière en nous protégeant avec ses ailes et son piano du chaos du monde.
Decca
Un peu de douceur, d’apaisement, de confiance en l’autre, voilà ce que nous offre Ólafur Arnalds avec Zero.
Imelda May, avec son look de pin-up des années 50, remet au goût de jour le Rockabilly. En l’espace de quelques mois elle est passé du New-Morning à La Cigale en affichant complet.