Un peu de douceur, d’apaisement, de confiance en l’autre, voilà ce que nous offre Ólafur Arnalds avec Zero.
Pour le jour du piano crée par son ami Nils Frahm, Ólafur Arnalds propose une balade en forêt réalisée à la lumière d’un drone par Joshua Stocker. On suit les mouvements de deux danseurs, Ali Goldsmith et Lucia Chocarro au cœur de la forêt de Surrey, filmés à la Tarkovski ou à la Andreï Zviaguintsev. Les ombres vont et viennent, comme les sentiments se bousculent dans une violente douceur, on chute pour mieux se relever. Peut être.
« Zero est l’une des titres de Some kind of peace que je chéris le plus, surtout parce qu’il sert un objectif très important sur l’album dans son ensemble. Cela représente le point le plus bas du parcours de l’album, mais c’est aussi le moment où tout commence à se retourner – un rappel de la lutte contrastée et de l’espoir que nous trouvons tous en nous-mêmes et dans nos relations. »
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Le monde devenant fou dans un pays prétendument démocratique où des lycéens sont matraqués à Bordeaux, d’autres sont marqués au feutre à Libourne, où l’on peut tout dire et surtout n’importe quoi, on remercie RY X et Ólafur Arnalds pour ces 5 minutes 39 secondes de douceur.
« Réfléchis avec lenteur, mais exécute rapidement tes décisions. » affirmait le rhéteur antique Isocrate. Il faut prendre son temps pour écouter 0 le deuxième album de Low Roar sorti chez Tonequake Records pour goûter à cette sérénité, ce calme qui cache pourtant une âme tempétueuse. Et l’on a alors envie d’écouter prestement le trio néo-islandais sur…
Gimme Shelter Alors que l’excellente série britannique Broadchurch, mise en musique par Ólafur Arnalds sera diffusée sur France 2 à partir du lundi 17 février, on peut écouter un nouveau titre, Someday extrait de la bande originale du film de Ron Krauss, Gimme Shelter avec la Spring Breakers, Vanessa Hudgens.
Chez Vian, un nénuphar poussait dans le poumon droit de Chloé et la maladie était repoussée un temps par traitement florale. Odezenne « fait pousser bien les géraniums » avec peut-être les larmes tirées à chaque écoute d’Une danse de mauvais goût, l’une des grandes chansons de cette année avec Mansfield.TYA.
Avec son nouveau titre Pigeons, Vincent Roberge alias Les Louanges semble être le dindon de la farce avec une chanson introspective après les excès, la fatigue, les aléas et peut-être la lassitude de deux ans de tournée.
The return of the Mullet. C’est le Daily Star qui l’annonce, 2021 sera l’année du retour de la coupe ramasse miettes façon Patrick Swayze dans Ghost ou Chris Waddle au Vélodrome de Marseille. Jonathan Jarzyna (Fenster) prend les devants capillaires avec son projet John Moods et son titre Talk To Me.
Ce couloir de la mort est peut être la meilleure publicité pour Toyota. Facile à conduire pour une virée en pleine nature, vous serez transportés par cette balade sauvage à la Mark Twain.
C’est sans doute le morceau le plus efficace du dernier album de Mogwai, As The Love Continues. Ceiling Granny est comme un ride en skate, plein de soif de vivre, de liberté, d’insouciance : un paradis perdu où l’on ne craint plus Satan et où l’on survit à sa jeunesse.
On vous a menti, ce ne sont ni les américains ni les russes qui ont marché sur la lune, mais Peter von Poehl qui nous y emmène avec ce somptueux Behind The Eight Ball.
The Snuts est the next big thing venue d’Ecosse avant la suivante. Ils viennent de sortir un premier album, W.L. chez Parlophone dont est extrait ce Glasgow pétaradant.