Aphex Twin C’est l’histoire d’un disque qui n’existe pas ou presque. Selon la légende aphextwinesque il n’aurait été gravé qu’à cinq exemplaires.
Caustic Window
Les heureux propriétaires de ce disque si rare qu’il est permis de se demander s’il existe réellement ou si ce n’est pas encore un coup de pub pour un musicien plutôt discret ces dernières années sont Chris Jeffs (Cylob, Ambient News, Kinesthesia, Nonprivate), Mike Paradinas (A Plaid Tusk, μ-Ziq, Tusken Raiders, Jake Slazenger…), Grant Wilson-Claridge (cofondateur de Rephlex Records) et Richard D. James lui-même. Selon la légende toujours, un des quatre (le traître) aurait lâchement vendu le sien sur Discogs pour la modique somme de 13 500 dollars. Tollé chez les fans qui via le site We Are The Music Makers, forum qui bizarrement est géré par Rephlex, lance une campagne de crowfunding afin de racheter le disque. Disque aujourd’hui envoyé en copie numérique haute définition aux 4124 « investisseurs » et mis en ligne aussitôt sur Youtube avec parait-il l’assentiment du principal intéressé. Et la musique dans tout ça ? On retrouve dans ce LP ce qui a toujours séduit les nombreux fans du musicien. Il y a de belles envolées acid qui n’en finissent pas de déployer leurs ailes, il y a des anthems qui sonnent tellement old school qu’on en pleurerait, il y a de la brutalité comme à la belle époque de « Qoth » par exemple, il y a des réminiscences de bleep music comme si les disques de la série Artificial Intelligence renaissaient et nous éblouissaient à nouveau 22 ans après, il y a aussi ces crispations si chères à son auteur qui tournent un peu à vide. Pour la petite anecdote sur les deux derniers titres on peut entendre Mixmaster Morris & Scanner et Chris Jeffs & Mike Paradinas.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
SK* a demandé à une centaine (et beaucoup plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de Zaabriskie qui fait le point. To The Beat est leur première explosion musicale que l’on saisit mieux à l’écoute de…
Il parait que demain autour de 20h vont se dessiner nos lignes futures. Celles de BRAZZIER figurent sur un album mixé et masterisé par Sébastien Lorho (Marquis de Sade, Dominique A, Octave noire) qui vient de sortir chez Binaire Ordinaire.
Lyon vs Bordeaux. Belle affiche. InFiné meets Talitres. Belle rencontre. Spitzer remixe la très belle Jeune Femme à l’Ibis de Thousand extraite de son troisième album chez le label à l’amphipode de Sean Bouchard. Et on peut télécharger le titre gratuitement !
Ela Minus est maousse costaud. Pas seulement parce qu’elle vient de Bogotá et a joué dès ses 12 ans et pendant 10 ans de la batterie pour Ratón Pérez, un groupe punk hardcore décolleur de tympan. Elle signe chez Domino un premier album addictif, Acts Of Rebellion, fruit de son expérience à la Berklee College…
SK* a demandé à une centaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de Thérèse la méphitique avec son titre vénéneux et addictif T.O.X.I.C qui fait chevaucher les licornes pour mieux se libérer des entraves.…
Le temps file. Telepopmusik sortira un nouvel album, Everybody Breaks The Line presque 20 ans après l’augural qui nous avait coupé le souffle avec Genetic World.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.