DJ Dodger Stadium – Friend Of Mine Bon c’est clair, ces deux là ne gagneront jamais le prix du nom de groupe le plus original mais au moins il n’y a aucun doute sur leur provenance. La house de la côte ouest n’a jamais beaucoup fait parler d’elle, il y a bien eu quelques groupes de San Francisco qui sont sortis du lot au début des années 90 et pas grand chose d’autre. Originaires de Los Angeles, Samo Sound Boy et Jerome LOL (ça ne s’invente pas…), ont sorti en ce début d’été le genre de disque dont on ne sait pas trop quoi faire, trop mainstream et pas assez accessible en même temps.
DJ Dodger Stadium
« Friend of Mine » est une véritable déclaration d’amour à leur ville, désenchantée et mélancolique sur certaines pistes, enjouée et hystérique sur d’autres, ce disque est aussi un bien beau condensé de 30 ans de dance music britannique, ce qui est plutôt paradoxal venant de deux américains. Les deux vidéos tournées avec l’aide d’un quadcopter, sorte de drone, offrent une vision peu connue de la cité des anges, loin de tout cliché touristique. Idéal pour la saison estivale, « Friend Of Mine » risque malgré tout de se trouver fort dépourvu la bise revenue et ne pas laisser de traces impérissables dans nos oreilles.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
SK* a demandé à une centaine (et beaucoup plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de Zaabriskie qui fait le point. To The Beat est leur première explosion musicale que l’on saisit mieux à l’écoute de…
Il parait que demain autour de 20h vont se dessiner nos lignes futures. Celles de BRAZZIER figurent sur un album mixé et masterisé par Sébastien Lorho (Marquis de Sade, Dominique A, Octave noire) qui vient de sortir chez Binaire Ordinaire.
Lyon vs Bordeaux. Belle affiche. InFiné meets Talitres. Belle rencontre. Spitzer remixe la très belle Jeune Femme à l’Ibis de Thousand extraite de son troisième album chez le label à l’amphipode de Sean Bouchard. Et on peut télécharger le titre gratuitement !
Ela Minus est maousse costaud. Pas seulement parce qu’elle vient de Bogotá et a joué dès ses 12 ans et pendant 10 ans de la batterie pour Ratón Pérez, un groupe punk hardcore décolleur de tympan. Elle signe chez Domino un premier album addictif, Acts Of Rebellion, fruit de son expérience à la Berklee College…
SK* a demandé à une centaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de Thérèse la méphitique avec son titre vénéneux et addictif T.O.X.I.C qui fait chevaucher les licornes pour mieux se libérer des entraves.…
Le temps file. Telepopmusik sortira un nouvel album, Everybody Breaks The Line presque 20 ans après l’augural qui nous avait coupé le souffle avec Genetic World.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.