Après nous avoir donné un peu d’espoir, Delicate Steve va tempérer ce jour de canicule avec Green
Moins glandeur que Mac DeMarco avec qui il a joué mais aussi avec, Built to Spill, Yeasayer, Dirty Projectors, Lee Ranaldo, Dr. Dog, Tune-Yards, Akron/Family, Sondre Lerche, Tampe Impala, Nicole Atkins et plein d’autres, Steve Marion alias Delicate Steve sort régulièrement des disques comme son dernier en 2019, Till I Burn Up ou des nouveaux titres, comme Green après Some Hope. Guitariste caméléon, il a collaboré avec des artistes aussi différents qu’Amen Dunes, The Growlers, The Black Keys ou Paul Simon. Il se met donc au vert avec Green en plein désert, un morceau à la cool parfait pour l’apéro à la fraîche.
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Oubliez tous les albums de cette année et de la prochaine, Fleet Foxes vient de sortir un somptueux quatrième disque pour fêter l’équinoxe d’automne mais surtout la vie qui continue envers et contre tout. « Music is both the most inessential and the most essential thing. We don’t need music to live, but I couldn’t imagine…
Andy Shauf avec The Neon Skyline a passé avec brio le cap parfois difficile du deuxième album en début d’année. Un disque personnel où les chansons tissent une histoire et nous fait croiser des personnages comme la séduisante Judy.
Miracle ! Le nouvel artwork du nouveau boulot de Jonny Pierce aka The Drums ne nous donne pas la nausée. Après les horribles pochettes (Brutalism & Abysmal Thoughts), Pierce se décide à enfin revenir à des choses plus jolies et plus méditatives.
On a tous certainement une envie de migrer. Mais avec M.Ward, on voyage immobile le long du sentier Santa Fe avec ses historiettes insignifiantes essentielles.
En attendant le couvre feu, M. Ward nous balade dans son Unreal City, un Paris en noir et blanc mis en images par Béatrice Pegard pour une dernière bouffée de liberté.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.