GUSH @ la Maroquinerie

Photos concert : GUSH @ la Maroquinerie, Paris | 11.03.2010 Leur réputation, portée par leur premier album Everybody’s God, les a précédés et ils nous ont rempli la maroquinerie sans aucun mal ! Ceux qui ont changé leur nom de Guts à Gush n’ont rien perdu de leur tripes. Certains avancent même m’avoir vue m’époumoner… En première partie, MiamiVince.

MiamiVince

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GUSH

Les cris annoncent que les quatre jeunes gens font leur apparition. En intro, ‘Tender‘ de Blur a de quoi me désarçonner, j’associerai plus GUSH à un ‘Song 2‘. Le public est majoritairement féminin, mais pas que : signe que ce n’est pas uniquement pour leur frimousse qu’on s’est déplacé(e)s ce soir.

Ils démarrent nonchalamment avec ‘Back Home’, et enchaînent avec ‘No way’, leur single, histoire de mettre tout le monde dans l’ambiance. Enfin, je dis single, mais pour moi, chacun de leurs morceaux est un petit tube en puissance. Avec ‘Dance On’, ils ont planté le décor, ils peuvent maintenant sortir des sentiers battus ; ce qu’ils font avec une nouvelle chanson: ‘Jed Digger Deg’ – c’est du norvégien.

Discographie

Un souci technique vient troubler ‘My Favorite Song’, qui est, ironiquement, ma préférée de leur album – mais la voix cassée de Vincent ne se trouble pas. Le clavier est réparé pour ‘Dragster Cowboy’, et Xavier peut s’en donner à cœur joie en impro.
In the Sun’ me procurera des frissons sur toute la durée de la chanson, d’autant plus qu’ils choisiront de la dédier à leur grand-père.

Vincent nous coacher rythmiquement pour ‘The Big Wheel‘, dont la batterie militaire donne des airs de marche indestructible. Vincent rejoint sa batterie dans une danse de sioux, et soudain, la plume à l’oreille de Xavier, qui se défoule sur le tom basse, prend tout son sens.
Une intro baroque – des relents de conservatoire ? – tranche avec les paroles de ‘P-nis’, qui explose soutenue par le slap de Yan à la basse. Là impossible de résister : je danse !

Ils annoncent une reprise, c’est une première, et quelle reprise ! Depuis son décès, autant dire qu’on en a bouffé du Michael Jackson ! Mais là je suis bluffée par leur version de ‘Dangerous’, et elle leur va comme un gant ! J’attends avec impatience la captation du Hiboo.
Le seul intérêt de ‘Remedy‘ sera le solo de Yan, mais ils remontent la barre avec ‘Blow Frankie‘, sur laquelle ce dernier s’illustre cette fois-ci par ses fessées.

Vincent s’égosille sur ‘Killing My Mind’ qu’il est fou à lier, mais difficile de le contredire quand on le voit se démener sur sa batterie et tirer la langue à tout va. Montée de pression progressive, tous se lâchent sur ‘You Really Got Style’, public compris (et moi itou). Ils finissent sur ‘Vondelpark’, laissant la voix à la Maroquinerie pour le refrain.

Pour le rappel, le public n’est pas de reste puisqu’il porte ‘Let’s Burn Again’ en lançant de lui-même les ‘Wouh’ en rythme. Enfin, pour finir en beauté et harmonie : le fameux a cappella sur ‘Jealousy’.

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Ils sillonnent la France au cours des prochains mois et reviennent faire un crochet par la Cigale le 8 juin. Rendez-vous sur Rocktrotteur, donc !

Back Home / No Way / Dance On / Jed Digger Deg / My Favorite Song / Dragster Cowboy / In the Sun / Big Wheel / P-Nis / Dangerous [Michael Jackson] / Remedy / Blow Frankie / Killing My Mind / You Really Got Style / Vondelpark
Rappel: Let’s Burn Again / Jealousy

9 réponses sur « GUSH @ la Maroquinerie »

Le guitariste pianiste de Miami Vince ressemble étrangement à celui de Diving with Andy…
Sinon Gush ça devait être bien cool :)

cataras > Merci :)

Jonathan > Bah c’est lui (ou alors un jumeau ^^)

Rod > Ah c’est sûr que nos « styles » sont aux antipodes !

Les commentaires sont fermés.

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