“La distance grappille le temps.” écrivait Eugène Guillevic. J.S. Ondara poursuit son voyage intérieur dans le Sussex en chantant cet écartèlement imposé durant ces mois suspendus où il était parfois impossible de serrer l’autre dans ses bras.
Le temps a été long, les câlins restreints, la liberté contrainte ce qui a permis à J.S. Ondara d’écrire son Folk N ‘ Roll Vol 1 : Tales of isolement, un recueil d’histoires intimes qui touchent à l’universel. Une pénitence abstinente créatrice, une route solitaire introspective où le cœur est en manque.
J.S. Ondara – From Six Feet Away
My name is Rita Lu I work at the emergency room Yesterday a patient came in and I had to attend to him He had the bug, he held the word But the scripture did him no good
Back home, my love she’s waiting Back home, my love she’s waiting But I’m afraid to hold her
If I must, if I have to I will love you from six feet away If I must, if I have to I will love you from six feet away
Oh my lover, Rita Lu I’ve already seen Tiger King three times through Yesterday I heard a sound, I thought it was a mountain hound So I took a pill to help me sit still But the pill only made me more afraid
Oh, back home my heart is aching Oh, and I could use some real tight hugging
But I’m afraid to hold you
If I must, if I have to I will love you from six feet away If I must, if I have to I will love you from six feet away
If I must, if I have to I will love you from six feet away If I must, if I have to, I… If I must, if I have to I will love you from six feet away
J.S. Ondara - Tales Of Isolation
Tracklist : J.S. Ondara - Folk N ' Roll Vol 1 : Tales of isolement
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Sortie d’isolement pour Ondara avec Mr. Landlord, le dernier morceau a être somptueusement mis en images, extrait de son Folk N ‘ Roll Vol 1 : Tales of isolement.
Bientôt la rentrée et Ondara a toujours le blues. Mais point de visages émaciés ou de danses de Saint Guy pur cette avant dernière vidéo parisienne mais des chats qui ont peut être soufferts de la présence continuelle et envahissante de leurs maîtres.
Dans l’onde d’Ondara, la solitude est limpide et paisible. Pourtant, Pulled Out Of The Market peut s’écouter comme une belle métaphore de la rupture ou de la mise au rebut.
Ondara à Bali. Notre reporter folk de l’intime cloîtré poursuit la déclinaison de son Tales of isolement avec la douceur d’un noir et blanc et les gestes délicats et gracieux du jeune chorégraphe Lalu Indra Jaya Pratama.
Direction Brooklyn pour la suite de l’aventure intérieure de J.S. Ondara avec Isolation Depression Syndrome, sans doute le titre le plus poignant extrait de Tales Of Isolation.
On poursuit notre voyage en visages avec J.S. Ondara avec un nouvel extrait de son album Tales Of Isolation qui passe cette fois-ci par Tokyo avec l’a cappella Shower Song, miroir de nos âmes tourmentées.
High then low. Avec Rescue Me, Fredrika Stahl nous tend un miroir pour lutter contre l’enfermement progressif que cela soit dans nos lieux de vie ou dans nos têtes.
Can’t get away, cannot turn the page, I’m a rat in a cage. On est derrière Balthazar, on ne voudrait pas se retrouver sur le sable, le vent en poupe, le cœur en sang.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.