France Copland – Pute et mac

Quand je vois en couverture de Têtu : Frédéric Mitterrand : "Être homosexuel c'est pour moi une chance exceptionnelle" ça me débecte un peu quand-même que ce mec qui est à la culture ce qu'André Rieu est à la musique classique ramène encore sa fraise... C'est sûr que naître pédé dans un milieu bourgeois ça n'a pas dû être trop difficile, avoir un oncle président ça aide aussi même si ensuite, enfin bref.



Le jour où je verrai en couverture de ce magazine, « Jérôme, Roanne, être homo a changé ma vie » ou « Idir, La Courneuve, mes copains n’ont pas de problème avec mon homosexualité » je prendrai au sérieux ces parisiens qui ne dépassent pas souvent le périphérique si ce n’est en avion pour aller à Tel-Aviv puisqu’il paraît que c’est la dernière destination chic et gay. Si ça vous dérange pas de faire les connes pendant que pas loin tout un peuple crève de faim et est privé de liberté, pourquoi pas les gars… En hommage à toutes ces folles de droite, un petit intermède musicale de 2002 signé France Copland. Si vous ne connaissez pas tant pis, vous avez la culture que vous méritez après tout !

France Copland - Pute et mac

Cela pourrait vous intéresser

Fakear-cluciebascoul-presspicture22

2X1 places pour Fakear au Transbordeur

Talisman le nouvel album de Fakear vient de sortir chez Nowaday Records et il le défendra sur scène en France et en Europe ce printemps avec un passage au Transbordeur le samedi 18 mars.

Plus dans Son du jour

Salomeleclerc-avantleseclats

Vidéo : Salomé Leclerc – Avant les éclats

Enfin. Enfin Salomé Leclerc est en concert à Lyon. Enfin Salomé Leclerc est en concert à A Thou Bout d’Chant. On l’attend depuis des lustres tabernacle ! Et ça y est, on y est ! Un vrai p’tit bonheur !
Hugojardinnuitvacillante

[EXCLU] Vidéo : Hugo Jardin – Nuit Vacillante

Il faut cultiver notre Hugo Jardin. Chanteur, poète, mime, perfomer, Hugo Jardin termine son premier EP tout en poursuivant l’écriture de son premier roman. Il nous offre, Nuit Vacillante son premier clip réalisé par Thomas Kelly et chorégraphié par Camille Cau.