Wave, le nouvel album de Patrick Watson, sortira le 18 Octobre chez Domino.Il risque d’être plus sombre que le précédent, Love Songs for Robots, pendant son enregistrement, Patrick a perdu sa mère, son batteur historique a quitté le groupe, et lui et sa compagne se sont séparés. Ambiance.
Et pourtant. L’amiral Watson possède toujours dans son ADN cette douceur incroyable et ces « sweetest melody » même si c’est une Melody Noir. Aux Nuits de Fourvière, accompagné par l’orchestre national de Lyon, il avait emporté le théâtre dans son monde aux harmonies subtiles, aux arrangements ouvragés à la Debussy, son idole. Wave est une vague de simplicité, un disque intime et essentiel, où le spleen ne fout pas le bourdon car il est consubstantiel à l’amour. Patrick Watson écrit à propos du disque : « C’est la différence entre chanter un solo sur la tombe d’un étranger en étant enfant et en chanter un aux funérailles de sa propre mère. ». A propos de Dream For Dreaming, il explique : « Quand tu rentres chez toi et que ta maison ne ressemble plus à celle que tu avais quittée, et la sensation étrange d’être si loin de ce que tu avais en tête, que ta peau ne te va plus. Et tu es dans un état de doute profond avec un sourire étrange et tu te demandes ce que tu dois faire maintenant. » Sa voix touche au surnaturel, elle nous emmène au pays des songes sur des glissando oniriques. Élémentaire pour Patrick Watson.
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Patrick Watson roule sur sa Lost Highway et sa voix volute en suivant la ligne jaune. Et l’on veut se perde avec Patrick, glisser majestueusement sur cette route dans une nuit sans fin.
Et si l’être aimé était la plus douce des mélodies ? Élémentaire avec Patrick Watson et sa mélodieuse mélopée, Melody Noir, premier titre d’un album à venir prochainement qui annonce un concert à Paris le 7 décembre au Trianon.
Patrick Watson a composé le mois dernier ce Broken au studio PM de Montréal, il explique : “J’ai voulu partager ce morceau avant le prochain album. Je le dédie à la tempête que nous avons traversée.”
L’Epicerie Moderne de Feyzin près de Lyon fête cette année ses dix ans avec bien sûr encore et toujours des concerts mais aussi un livre retraçant l’aventure de cette salle périphérique et pourtant centrale dans le paysage culturel et musical de la région lyonnaise.
For Noise existe depuis 1997, la nouvelle édition aura lieu les 20, 21 et 22 août à Pully à coté de Lausanne sur les bords du lac Léman en Suisse et propose une fois de plus une programmation de folie.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.