[EXCLU] Vidéo : Isla Oiseau – COATEPEC

Souvent nos meilleures années glissent. Après leur voyage en Barque, le couple Isla Oiseau continue de nous faire voyager au Mexique avec une chanson envoutante, rollercoaster à émotions. « Le morceau a été écrit et composé entre les cascades et les pluies tropicales de la forêt de Coatepec au Mexique. Là où tout est excès, la végétation, les lucioles, la chaleur, l’humidité, la musique, le piment, là où la réalité se trouble dans un mélange d’hallucinations » précise Isla Oiseau. La vie comme un cactus, piquant à l’extérieur et plein d’énergie à l’intérieur, comme une danse grisante « dans la moiteur des nuits d’été ».

Le EP Les ombres d’Isla Oiseau sera disponible le 11 avril 2025. ils seront en concert le 24 avril au Pop Up du Label à Paris.

Isla Oiseau – COATEPEC

Parfois les images surgissent
Parfois les mots sont empêchés
Souvent la grand voile se hisse
Et les amants sont déterrés

Et s’il n’y avait plus de rivage
Et s’il n’était pas d’horizon
On aurait tous ton visage
On aurait bientôt plus de nom

Dans la chaleur, des mot qui blessent
Il existe un dernier sentier
Celui qui t’emmène et te berce
Dans la moiteur des nuits d’été

Elle se languie sous tes paupières
Elle a coupé tout ses cheveux
Elle esquisse une dernière prière
Mais elle a chassé tous ses vœux

Dans la chaleur, des mot qui blessent
Il existe un dernier sentier
Celui qui t’emmène et te berce
Dans la moiteur des nuits d’été

Parfois les images surgissent
Parfois les mots sont empêchés
Souvent la grand voile se hisse
Et les amants sont déterrés

Parfois les destins s’accomplissent
Parfois les cœurs sont transpercés
Souvent nos meilleures années glissent
Et les amants sont sans pitié
Et s’il n’y avait plus de présage
Et s’il n’était pas de chanson
On aurait tous la même image
On aurait bientôt plus de son

Je te donne un baiser d’adieu
je te laisse les pieds dans les décombres
Tu pourras compter si tu veux
Toutes les fissures là dans l’ombre

Dans la chaleur, des mot qui blessent
Il existe un dernier sentier
Celui qui t’emmène et te berce
Dans la moiteur des nuits d’été