Attention, Olaf Hund invite Sabine Happard (Christophe) à pénétrer dans son love lab pour une expérience sensuelo-musicale qui donne un sacré plaisir aux sens.
Chanson française
Gwendoline nous avait mis knock-out lors de leur concert en avril au Club Transbo. Leur album, C’est à moi ça est à l’image de notre époque, sale, violent, lucide. Le sang de papa et maman est une giclée salvatrice sur nos mocassins à glands.
Après deux EP, 4CDM en 2022 et Uzès en 2023, Gwizdek sortira un premier album, Seed le 8 novembre avec une release à l’Ampérage à Grenoble.
On ne la connaît pas mais nous avons le coup de foudre pour Elli. Elle danse, virevolte, volute, virevousse comme le coup de crayon de Matthieu Askehoug avec Superbravo.
Panache évoquait jusqu’à présent le geste de Cyrano, désormais on pensera au quatrième album de Kacimi à son sommet.
Françoiz Breut avec Dancing frénétique nous aide à prendre la tangente, à crever l’asphalte, à cavaler avec les animaux dans les sous bois la nuit.
Karkwa à Lyon, on en rêvait, le Théâtre Comédie Odéon l’a fait. Bien sûr nous étions habitués au sourire gargantuesque de Louis-Jean Cormier mais nous n’avions pas revu Karkwa dans nos contrées depuis un concert le 19 octobre 2011 sur la péniche le Sirius dans le cadre de feu le festival Just Rock pour leur […]
C’est l’heure de la sortie de Crève-cœur, le nouvel EP d’Adèle Castillon avec un premier titre mise en images par ses soins, À la folie.
On connaît la commune de Nanortalik grâce à Dominique A, titre qui figure sur l’un de ses meilleurs albums, La Musique. Barkanan nous fait à nouveau traverser l’Atlantique, passer le cap des remous, divaguer vers les pôles enneigés.
Après son EP remarqué, Les Espaces Intermédiaires, on redécolle avec Paris Orly et son album La Réserve prévu pour le 1er novembre 2024.
La Cozna sort son premier disque, Ni nuit ni jour chez le Raffut Collectif et nous offre en avant première cette fille le jour et la nuit blanche biche.
Un peu de lumière dans cette ombre qui nous envahi peu à peu dans ce pays malmené. Le premier album de Cœur Joie chez Howlin Banana fait du bien, et cela n’a pas de prix.
C’est vrai qu’en cette rentrée marquée par l’infamie, on pourrait s’écrier, Ô rage ! Ô désespoir ! Heureusement, la voix ample de Clara Ysé continue de dédoubler notre monde avec la ressortie de son premier album, Oceano Nox avec cinq titres bonus dont ces rois du désespoir.
Avant son passage très attendu à la salle des Rancy à Lyon le jeudi 28 novembre, Louise Combier nous parle de ses morceaux du moment.
Depuis A 71 on suit la cabrure de Mustang et comme frère Jean, nous avons envie de claquer un paquet de portes au nez en cette rentrée pitoyable.
Tout rayonne sur Sylvain Fesson. D’ailleurs, il ne croit pas au mal, mais à son étoile.
Nicolas Comment sur les traces de Paul Bowles et de la beat generation prend le pouls de Tanger. La lumière fondue chère à Matisse irise ces images qui mêlent archives et prises de vues aux subtiles surcadrages signifiants.
Déjà 10 ans pour le festival Les Belles Journées qui porte bien son nom cette année encore avec MPL, MC Solaar, IAM, Clara Ysé, Jain et Pomme les 6 et 7 septembre à Bourgoin-Jallieu au parc des Lilattes.
Alexandre Delano avec Rodéo capte le rayon vert de l’adolescence. Ce moment de bascule, de corps à corps, ce point de non retour qui peut passer en une nuit festive où l’on ne se frôlera plus.
Le poor lonesome cowboy Baptiste W. Hamon connaît des gens cyniques des Rocheuses aux tours de la Défense, nous aussi.
Chanson épique pour un clip fantastique. On chevauche cette Nouvelle vague de Karkwa et l’on franchit les portes de la perception.
Leo Leonard nous envoie sous la forme d’un court métrage une carte postale nostalgique de ses vacances en 2006 avec Get to you.
Adé n’est plus à l’arrière de Therapie Taxi. Elle sortira un deuxième album cet automne avec encore plus d’amour.
La famille, les amis, quelques emmerdes mais au final beaucoup d’amourfou d’un public de plus en plus nombreux touché par les mots simples et les maux bleus de Martin Luminet.
Et si le slow de l’été était un hommage à une maman qui écoutait en boucle une chanson à la con au milieu du salon ?
Que l’on soit un contempteur ou un admirateur de la soirée d’ouverture des trente-troisièmes olympiades, l’apparition du grand schtroumpf Philippe Katerine dans le plus simple appareil n’a pu laisser indifférent.
Après avoir croqué Odile, Louis Arlette portraiture un Amsterdam loin des clichés touristiques.
Attention, cette vidéo contient des poules sans maillots.
Le soleil donne un coup de chaud à BEBLY qui se prend la tête et se démultiplie. L’hédonisme nombriliste estival fait place ici à un spleen solaire solitaire.
Joanna et Zaho de Sagazan ont émerveillé les Nuits de Fourvière en stimulant notre sérotonine et en déclenchant la traditionnelle symphonie de coussins dans l’antique théâtre.