Il y a des disques qui sont des invitations au voyage même s’ils ont été longtemps immobiles et intérieurs. Et quand en plus l’EP de Big Wool se nomme Simple Travel, on prend d‘autant plus facilement la route chère à Jack Kerouac.
Jack disait, « J’étais à mi-chemin de la traversée de l’Amérique, sur la ligne de partage entre l’Est de ma jeunesse et l’Ouest de mon avenir. » écrit–il. Et plus loin, « Rien derrière et tout devant, comme toujours sur la route. »
En cinq titres, Maxime, Nicolas, Guillaume, Baptistine et Vincent nous font lâcher prise et regarder au loin. On se laisse aller à rêver de grands espaces, de chemins isolés, de fil d’Ariane, de pays des araignées, à la recherche de David (Pajo) sous un soleil d’été. Simple Travel vagabonde célestement du Maine angevin au Texas Houstonian car « la route doit en fin de compte mener dans le monde entier. »
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Après nous avoir illuminé avec son Gyrophare et sa pop élégiaque scintillante, titre de son prochain album chez Echo orange, Chante et Tais-Toi et Le Pop Club Records, Kacimi propose un morceau en suspension, hors du temps, une méditation poétique accompagnée d’une somptueuse animation par Peter The Moon.
A table avec Samoun, duo mystérieux de producteurs parisiens. Leur Chakchouka ne vous fera pas prendre du poids, bien au contraire et vous fera bosser à nouveau vos plus beaux mouvements appris avec Sidney circa 1984 avec H.I.P. H.O.P..
Avec le premier extrait de Simple Travel EP à paraître le 1er mai, Big Wool nous emmène sur la route, les cheveux au vents, le spleen au ventre à la recherche d’un cocon idyllique, un voyage en utopie.
En transe. A chaque écoute de ce cri chilien du collectif Las Tesis, on est remué, bouleversé, boxé, sonné. Et pour une fois, les réseaux ont servi à quelque chose avec la médiatisation et l’internationalisation de ce chant de lutte aussi puissant que Bella ciao, La Chanson de Craonne ou Le Chant des partisans. Cet…
Immenses Rebels of Tijuana ? Assurément avec un nouvel EP, La Dominicaine ce Vendredi 13 décembre en vinyle et en digital avec Le Pop Club Records, Echo Orange et Urgence Disk accompagné d’un nouveau clip, C’est Immense.
2021 prend la suite de 2020 et arrive avec son lot de surprises. Notamment musicales. Avec l’irruption de Steve Gullick, photographe, accompagné de James Johnston, ex-Gallon Drunk.
Le nom de Mark Pickerel ne vous dit rien ? C’est tout à fait normal. Vous trouvez les trois extraits de Rebel in the Rearview formidables ? C’est normal !
Mica Levi, mais vous êtes juive ?! Ça ne fait rien, on vous garde quand même. Parce que c’est foutrement jouissif à l’heure la France vaccinée par la connerie se demande s’il va y avoir de le neige à Noël ou si lLa Fistinière va rouvrir avec gestes barrières et protection et friction hydro-alcoolique.
Vincent Eckert n’est pas, comme il le chante, sur La mauvaise pente. Avec ces onze nouvelles chansons écrites et enregistrées juste avant le confinement de mars 2020, Eckert prend le chemin de la simplicité pour nous emmener dans son univers. On y croisera ses disques préférés, sa diction douce et des effluves de chanson française.
Il parait que demain autour de 20h vont se dessiner nos lignes futures. Celles de BRAZZIER figurent sur un album mixé et masterisé par Sébastien Lorho (Marquis de Sade, Dominique A, Octave noire) qui vient de sortir chez Binaire Ordinaire.