Light Inside My Skin est le premier extrait du nouvel album d’Ashley Paul en trio avec Yoni Silver et Otto Willberg.
Un titre qui fait rire le saxophone et psalmodier la clarinette basse sur des pizz’ de contrebasse est forcément une fenêtre sur un ailleurs dont on a bien besoin. Un patchwork musical à écouter en regardant la pochette à la Miró. Merci à Sing Sing d’Arlt pour la découverte .
« Au cours des six derniers mois, je me suis retrouvé à avoir besoin de musique d’une nouvelle manière, d’une manière de faire face. J’ai retrouvé des albums que j’avais adorés par le passé, pleins de mélodie et d’humour, pour conjurer le flots de terribles nouvelles qui se passaient à l’extérieur. Je pense que cet album est le reflet de ce besoin. Il y a le côté ludique de passer mes journées avec notre enfant de quatre ans, les heures passées à s’occuper des plantes dans le jardin et à examiner les insectes, ainsi que la douleur de la famille et des amis manquants. C’est difficile pour moi de comprendre pleinement l’ampleur de l’émotion que j’ai ressentie récemment, mais c’est peut-être une petite fenêtre. L’idée du trio s’était formulée dans ma tête pendant des mois, puis le confinement s’est produit. Au début, j’étais très déçu et je pensais que j’attendrais une éternité pour enfin en faire une réalité, mais le temps a passé. J’ai commencé à travailler sur un nouvel album et je ne pouvais l’entendre qu’avec ces gars-là. Nous avons enregistré à distance. J’ai envoyé du matériel de différentes manières, idées écrites, sonores et verbales. »
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Se réinventer. Comment ne pas se répéter quand on a une discographie impeccable. En balançant un titre de 11 minutes totalement addictif à écouter lors de vos siestes crapuleuses ou lové à l’arrière des taxis.
Écrit en partie l’hiver dernier sur l’île de la Désirade (Guadeloupe), Providence prend élégamment la suite d’Anti Slogan et nous fait espérer des jours meilleurs avec des chansons puissantes et tenaces.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
Josh croit encore en l’amour, il en faut. Love in vain, in pain, in Spain. Ce nouveau titre est dédié à la mémoire de ses grands parents George et Trudy David.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
La beauté a un nom est c’est Piers Faccini. Fall or to be reborn nous questionne t-il. On cherche tous un peu cette porte de sortie pour éviter la routine, les emmerdes, les échecs.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
2021 prend la suite de 2020 et arrive avec son lot de surprises. Notamment musicales. Avec l’irruption de Steve Gullick, photographe, accompagné de James Johnston, ex-Gallon Drunk.
Le nom de Mark Pickerel ne vous dit rien ? C’est tout à fait normal. Vous trouvez les trois extraits de Rebel in the Rearview formidables ? C’est normal !
Mica Levi, mais vous êtes juive ?! Ça ne fait rien, on vous garde quand même. Parce que c’est foutrement jouissif à l’heure la France vaccinée par la connerie se demande s’il va y avoir de le neige à Noël ou si lLa Fistinière va rouvrir avec gestes barrières et protection et friction hydro-alcoolique.
Vincent Eckert n’est pas, comme il le chante, sur La mauvaise pente. Avec ces onze nouvelles chansons écrites et enregistrées juste avant le confinement de mars 2020, Eckert prend le chemin de la simplicité pour nous emmener dans son univers. On y croisera ses disques préférés, sa diction douce et des effluves de chanson française.
Il parait que demain autour de 20h vont se dessiner nos lignes futures. Celles de BRAZZIER figurent sur un album mixé et masterisé par Sébastien Lorho (Marquis de Sade, Dominique A, Octave noire) qui vient de sortir chez Binaire Ordinaire.