En 1977, l’ami Johnny Rotten beuglait : « She was a girl from Birmingham… ». En 2013, Johnny Lydon pourrait hurler : « It’s a great band from Birmingham… ». Deuxième ville d’Angleterre, Birmingham est plus connue pour ses groupes de métal et son parc d’attraction Cadbury que pour ses groupes de rock et ses refrains entêtants. Les Swim Deep et leurs t-shirts Nirvana XXL devraient changer la donne.
Swim Deep
Le premier album des Swim Deep arrivera le 5 aout 2013 et pourrait frapper un grand coup. Produit par Charlie Hugall (Florence And The Machine, Lucy Rose), Where the Heaven Are We replace Birmingham sur la carte du rock anglais. Il y avait Ian Brown et Manchester, il y aura Austin Williams et Birmingham. La musique des Swim Deep part donc du Nord de l’Angleterre et franchit l’Atlantique pour atterrir dans les états de Washington et de l’Oregon. La revanche des ploucs.
Au delà de leur dégaine à la Cobain, Austin Williams et ses potes grandissent très rapidement. Comme Oasis qui faisait la première partie de Ride quelques mois avant la sortie de Definitely Maybe, et qui finira par vendre plus de disques que la tête d’affiche quelques semaines plus tard. Formés en 2011, Swim Deep a ouvert pour Spector ou pour les pénibles Mystery Jets. Si tout va bien, le chanteur de ces derniers devrait vendre des posters Swim Deep dans quelques semaines au coin de la rue. Des chansons comme She Changes the Weather et comme King City sont des petits joyaux indépassables. Il faut vraiment grandir dans une morne cité anglaise et ne pas avoir un kopeck pour pondre de tels refrains.
L’heure de la raison a déjà sonné pour les Shame. Il y a trois ans, ces jeunes anglais débarquaient sans frapper à la porte avec Songs Of Praise, une oeuvre de jeunesse bourrée de bonnes chansons. Avec Drunk Tank Pink, les Shame complexifient leur discours et s’assagissent.
2021 prend la suite de 2020 et arrive avec son lot de surprises. Notamment musicales. Avec l’irruption de Steve Gullick, photographe, accompagné de James Johnston, ex-Gallon Drunk.
Mica Levi, mais vous êtes juive ?! Ça ne fait rien, on vous garde quand même. Parce que c’est foutrement jouissif à l’heure la France vaccinée par la connerie se demande s’il va y avoir de le neige à Noël ou si lLa Fistinière va rouvrir avec gestes barrières et protection et friction hydro-alcoolique.
Sortir du lit gâche ma journée entière. Bill Callahan, Bonnie « Prince » Billy et David Pajo reprennent le I love you de l’icône country Jerry Jeff Walker (Ridin’ High, 1975) décédé en octobre dernier.
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Le nom de Mark Pickerel ne vous dit rien ? C’est tout à fait normal. Vous trouvez les trois extraits de Rebel in the Rearview formidables ? C’est normal !
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Vincent Eckert n’est pas, comme il le chante, sur La mauvaise pente. Avec ces onze nouvelles chansons écrites et enregistrées juste avant le confinement de mars 2020, Eckert prend le chemin de la simplicité pour nous emmener dans son univers. On y croisera ses disques préférés, sa diction douce et des effluves de chanson française.
Il parait que demain autour de 20h vont se dessiner nos lignes futures. Celles de BRAZZIER figurent sur un album mixé et masterisé par Sébastien Lorho (Marquis de Sade, Dominique A, Octave noire) qui vient de sortir chez Binaire Ordinaire.