Grande Est La Maison sera assurément l’un des disques importants de cette année. Un nouvel extrait, Take me home (part 2) nous étreint, nous enlace, nous cajole avec sa violente douceur.
Et ce titre transpire l’amour, un hug musical puissant, touchant et apaisant. Quand simplicité rime avec félicité avec des voix, un vibraphone et une guitare qui arrivent à nous faire toucher physiquement la lumière.
Cabane – Take me home (part 2)
Cabane – Take me home (part 2)
Cabane - Grande est la maison
Tracklist : Cabane - Grande est la maison
tu ne joueras plus à l'amour avec bonnie prince billy
now winter comes avec kate stables
easily we'll see avec kate stables
îlot (part 2)
by the sea avec bonnie prince billy & kate stables
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Oubliez les jeux de pouvoir, Cabane trône sur le toit de la pop délicate et thaumaturgique avec now, winter comes extrait de l’immense Grande est la maison à écouter pour se sentir moins seul.
La petite cuisine de Cabane avec Kate Stables et Caroline Gabard n’a rien à voir avec certains concerts en famille dont on se délivre demain qui ont tout de la supercherie nombriliste.
20 janvier. Et l’on tient déjà la plus belle chanson de 2020. Comment ne pas succomber à la voix céleste de la princesse Kate Stables (This Is the Kit), à cette mélodie surgie d’ailleurs, peut être de cette île mystique et mythique de Yakushima déjà magnifiée par Wednesday Campanella ou encore à ces cordes soyeuses…
Il y a des sons du jour évident. On avait déjà été terrassé par la beauté du Sangokaku de Cabane, voilà que déboule Là, sous le vent, une brise qui se mue en une tempête d’émotions.
La beauté a un nom est c’est Piers Faccini. Fall or to be reborn nous questionne t-il. On cherche tous un peu cette porte de sortie pour éviter la routine, les emmerdes, les échecs.
On aurait dû voir Julien Lesuisse avec son nouveau projet Crimi à Jazz à Vienne ou aux Trans Musicales de Rennes. On attend donc en mars sur le label Airfono un premier album Luci e guai avec ses acolytes Cyril Moulas (guitare), Brice Berrerd (basse) et Bruno Duval (batterie).
On devait passer un Super moment avec Didier au théâtre Comédie Odéon à Lyon car il est bien plus marrant que tous ces comiques de merde et puis la peste cholérique s’est abattue sur la France sans chars et ligne Maginot.
J’entends nos membres qui crépitent, Je vois tes veines qui palpitent, Et nos corps s’entremêlent. Françoiz Breut dévoile un premier titre lascif et charnel de son prochain disque, Le Flux Flou de La Foule le 19 mars chez Trente Février.
« Si vous voulez écrire une chanson d’amour, commencez par vous faire larguer. C’est la base, quoi… Et après, on en reparlera… Cela vous a rendu méchant ou vulnérable, cela vous a mis en colère ou donné envie de retrouver l’amour… Il faut être passé par là. » assure Benjamin Biolay au magazine 20h30 le samedi.
La dernière flèche de Jonas Bonnetta (Evening Hymns) c’est un album, Heavy Nights sorti en juin et récemment sous le sapin un EP de quatre reprises de Neil Young, Late Neil.