Bon, Jacob Bellens ne pouvait pas prédire la claustration. Le divin danois sort le 3 avril chez Hfn son cinquième disque, My Heart Is Hungry And The Days Go By So Quickly et les jours à scruter notre cœur passeront peut être plus vite.
D’accord, Jacob Bellens n’est pas une découverte avec cinq albums en solo au compteur depuis 2012. Mais il décrit son dernier né comme étant son meilleur jusqu’ici. Une collection de neuf titres ont ce Summer Sadness qui vient d’être mis en images et montre le talent de mélodiste du danish boy sur le thème forcément dramatique de la perte de la mère bousculant la paternité. Bread and Butter n’est pas une ode à la pénurie, il chante ici la procrastination : « Quand je … alors je pourrais… sont certains des mots les plus tristes que je connaisse. Attendre que votre vie commence, attendre que quelqu’un vienne vous réveiller n’est tout simplement pas la stratégie la plus intelligente si vous voulez profiter du don de la vie. C’est un rappel à moi-même que la vie est amusante, que tout est possible et que vous possédez la clé dans vos mains d’argent. »
Jacob Bellens – Summer Sadness
Jacob Bellens – Bread and Butter
Jacob Bellens - My Heart Is Hungry And The Days Go By So Quickly
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Se réinventer. Comment ne pas se répéter quand on a une discographie impeccable. En balançant un titre de 11 minutes totalement addictif à écouter lors de vos siestes crapuleuses ou lové à l’arrière des taxis.
Écrit en partie l’hiver dernier sur l’île de la Désirade (Guadeloupe), Providence prend élégamment la suite d’Anti Slogan et nous fait espérer des jours meilleurs avec des chansons puissantes et tenaces.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
Josh croit encore en l’amour, il en faut. Love in vain, in pain, in Spain. Ce nouveau titre est dédié à la mémoire de ses grands parents George et Trudy David.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
La beauté a un nom est c’est Piers Faccini. Fall or to be reborn nous questionne t-il. On cherche tous un peu cette porte de sortie pour éviter la routine, les emmerdes, les échecs.
2021 prend la suite de 2020 et arrive avec son lot de surprises. Notamment musicales. Avec l’irruption de Steve Gullick, photographe, accompagné de James Johnston, ex-Gallon Drunk.
Le nom de Mark Pickerel ne vous dit rien ? C’est tout à fait normal. Vous trouvez les trois extraits de Rebel in the Rearview formidables ? C’est normal !
Mica Levi, mais vous êtes juive ?! Ça ne fait rien, on vous garde quand même. Parce que c’est foutrement jouissif à l’heure la France vaccinée par la connerie se demande s’il va y avoir de le neige à Noël ou si lLa Fistinière va rouvrir avec gestes barrières et protection et friction hydro-alcoolique.
Vincent Eckert n’est pas, comme il le chante, sur La mauvaise pente. Avec ces onze nouvelles chansons écrites et enregistrées juste avant le confinement de mars 2020, Eckert prend le chemin de la simplicité pour nous emmener dans son univers. On y croisera ses disques préférés, sa diction douce et des effluves de chanson française.
Il parait que demain autour de 20h vont se dessiner nos lignes futures. Celles de BRAZZIER figurent sur un album mixé et masterisé par Sébastien Lorho (Marquis de Sade, Dominique A, Octave noire) qui vient de sortir chez Binaire Ordinaire.