Après Vámono et son clip coloré, le chaloupé NTE (No Te Equivoques), Buscabulla nous fait rencontrer Nydia.
Buscabulla. Prononcez ce mot plusieurs fois et vous êtes déjà à Porto Rico. Mais derrière sa sonorité chantante se cache un engagement puisqu’il signifie fouineur. Buscabulla c’est Raquel Berrios au chant et Luis Alfredo Del Valle aux divers instruments, remarqués avec deux EP en 2014 et 2017. Regresa leur premier album sort ce 8 mai et évite tout pittoresque de pacotille. La pochette a beau être chatoyante, le duo gravure de mode, la saudade transperce ce disque de Vámono à Ta que tiembla en passant par Nydia, inspiré de Nydia Caro, célèbre actrice et chanteuse portoricaine des années 70. « Un jour, nous avons eu la chance de rencontrer Nydia, que j’ai toujours admirée. Nous lui avons rendu visite à plusieurs reprises, nous avions à chaque fois des conversations très intéressantes sur la féminité et la beauté dans le monde de la musique, le fait d’être parents et la vie à Porto Rico. Elle est devenue une sorte de mentor et m’a aidé à changer mes perspectives sur ma nouvelle vie et mon nouveau foyer ». Car contrairement à Maria dans West Side Story, Raquel et Luis Alfredo ont fait le voyage inverse, ils ont quitté Brooklyn pour renouer avec leurs racines ; « Regresa, c’est l’acceptation de soi avec toutes ses imperfections, et l’acceptation d’être de retour à Porto Rico, avec tous ses défauts ».
« Regresa a été enregistré dans son intégralité dans le studio de Raquel et Luis Alfredo à Porto Rico, c’est une montagne russe émotionnelle dans laquelle ils font face et méditer les problèmes qui les affectent et la société portoricaine en général : la frustration devant le manque d’opportunités pour les habitants alors que les allègements fiscaux attirent les riches investisseurs, le doute et l’anxiété, voire la montée du fanatisme religieux. Rempli d’angoisse et d’un sentiment de perte sous-jacent, Regresa – qui signifie « retour » ou « revenir » – est un voyage doux-amer, introspectif et révélateur. »
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
S’échapper du zoo, de la connerie crasse consumériste de Noël, des injonctions de sizaine pendant que les aristocrates bambochent à la lanterne ! Ah ! ça ira, ça ira, ça ira ! Réjouissons-nous, le bon temps viendra !
J’adore l’espoir, ça ne me coûte pas d’effort d’être optimiste. Ben Mazué n’est peut être Pas très original mais son sourire et ses pensées sont une invitation au bonheur.
Coup de chaud sensuel en provenance de Porto Rico avec Mío de Buscabulla. La voix nous caresse, volute voluptueuse sur des images volontairement trompeuses.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.