J’ai fréquenté la beauté est une promenade bucolique, une quête auvergnate toujours à la recherche de la terre, de l’amour, de la vie dans une valse à six temps qui reste dans la tête. La beauté est bien pour tous, nichée dans le quotidien de nos campagnes chères à Ermanno Olmi ou à Raymond Depardon où l’eau et le feu se conjuguent, où la rudesse des visages cache une humanité pétillante.
Babel est un double album réalisé avec The Delano Orchestra, il sort 13 octobre.
Jean Louis Murat – J’ai fréquenté la beauté
Jean-Louis Murat sera en concert avec The Delano Orchestra le 23/09 à L’Olympia (Paris) avec Christine and The Queens, Arnaud Fleurent-Didier et Maissiat, le 14/11 au Centre Culturel Athena (Auray), le 22/11 à L’Astrada (Marciac) et sans The Delano Orchestra le 30/01 au Trianon Transatlantique (Sotteville-lès-Rouen), le 31/01 à Les Botaniques (Bruxelles), le 1/02 à L’Alhambra (Mons), le 7/02 au Centre Culturel (Noisiel), le 27/02 à Le Carré d’Argent (Pontchâteau), le 6/03 au Théâtre du Crochetan (Monthey), le 7/03 au Théâtre Jean Dasté (Rive de Gier), le 14/03 au Théâtre (Etampes), le 20/03 à Le Trident (Cherbourg), le 21/03 à Les Arènes (Valencienne), le 8/04 au Festival Mythos (Rennes), le 9/04 au Festival Mythos (Rennes), le 10/04 à L’Embarcadère (Montceau-lès-Mines).
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Trois ans après Dolorès, Jean-Louis Murat surprit tout le monde avec Mustango. Il avait emmené son spleen aux Etats-Unis et en avait profité pour enregistrer ses morceaux en Arizona avec deux Calexico et à New-York avec Marc Ribot et Jennifer Charles d’Elysian Fields.
Le dernier disque de Murat porte bien son nom. Les 8 prises live et les 4 inédits nous font retomber, comme pratiquement à chaque fois, amoureux des guitares et de la voix de Jean-Louis Murat.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.