Les trois anglaises de Stealing Sheep font toujours dans le bizarre et l’étrange. La preuve avec leur nouveau clip qui vient d’apparaître sur la toile, Apparition.
Il n’y a pas que les Coral à Liverpool ! La preuve avec les Stealing Sheep et leur pop bizarroïde chargée de synthés. Leur album Not Real avait été un coup de cœur de notre printemps 2015.
Ces trois demoiselles continuent de nous obséder avec leur nouveau clip, Apparition.
Réalisé par Douglas Wilson, les Stealing Sheep sont aimables et fournissent une notice explicative : « Nous aimons l’idée car l’imagerie du folklore Anglais se juxtapose très bien avec le style lunatique des synthés de la chanson. Etonnamment, la danse Morris s’accorde bien avec les rythmiques électroniques et nous nous sommes beaucoup amusées ! On aime la fluidité rêveuse de la chorégraphie et de la prise de vue. C’est Dougal qui nous a au départ présenté une réalisatrice de film expérimentaux des années 50 qui s’appelle Maya Deren et son style a réellement influencé notre univers visuel quand nous avons commencé à travailler sur l’album, explorant les rêves, la réalité subjective et les flux de conscience. »
Tout va bien Madame La Marquise…
Stealing Sheep - Not Real
Not Real des Stealing Sheep est disponible et est distribué par Heavenly Recordings/PIAS . Stealing Sheep sera en concert à la Philarmonie de Paris les 21 et 22 Novembre 2015.
I’m in love, I know that you won’t come around. Quand la voix de velours rappé de Maarten s’emmêle à celle de miel de Jinte, on se métamorphose en grosse patate échouée sur la plage de nos sentiments confus, entre remords et regrets.
Trop c’est trop. Et pourtant, on a besoin de ce trop plein d’émotions qui rend les âmes sensibles. Même si nous sommes encore plus en ces temps confus, citoyens de la Jungle contemporaine, on espère atteindre ce monde sensible qui vient de sortir chez Yotanka.
The Besnard Lakes sont libres, au revoir Jagjaguwar, bonjour Full Time Hobby pour leur sixième album, The Last of the Great Thunderstorm Warnings le 29 janvier 2021.
E en clown triste sur la pochette d’Earth to Dora, on a l’habitude. Mais avec Are We Alright Again, il dégaine non seulement un tube imparable mais aussi l’un des clips hilarants de l’année avec en guest, Jon Hamm alias Don Draper dans Mad Men.
Coïncidence ? Au lendemain d’annonces incohérentes les beaux belges de Balthazar sortent un nouveau titre, Loosers, pour annoncer leur cinquième album Sand à paraitre le 29 janvier.
On ne quitte pas Keaton. Il est notre brancardier du cœur préféré. Son Ambulance est un gyrophare dans nos nuits, un avertissement sous forme de supplique, un miroir réfléchissant nos solitudes.
Se réinventer. Comment ne pas se répéter quand on a une discographie impeccable. En balançant un titre de 11 minutes totalement addictif à écouter lors de vos siestes crapuleuses ou lové à l’arrière des taxis.
Josh croit encore en l’amour, il en faut. Love in vain, in pain, in Spain. Ce nouveau titre est dédié à la mémoire de ses grands parents George et Trudy David.
On pourrait croire que les Lachinos rendent hommage à notre grognon national, notre Jean Pierre, notre ami Bacri avec ces deux titres enlevés, Fêtes de Mes Morts et Cáncer del Colon lui qui avait le sens de la fête et que le crabe nous a ravi.
La beauté a un nom est c’est Piers Faccini. Fall or to be reborn nous questionne t-il. On cherche tous un peu cette porte de sortie pour éviter la routine, les emmerdes, les échecs.
On aurait dû voir Julien Lesuisse avec son nouveau projet Crimi à Jazz à Vienne ou aux Trans Musicales de Rennes. On attend donc en mars sur le label Airfono un premier album Luci e guai avec ses acolytes Cyril Moulas (guitare), Brice Berrerd (basse) et Bruno Duval (batterie).
On devait passer un Super moment avec Didier au théâtre Comédie Odéon à Lyon car il est bien plus marrant que tous ces comiques de merde et puis la peste cholérique s’est abattue sur la France sans chars et ligne Maginot.