« Vers qui se tourner alors, vers quoi se dirige le décors… » chante Balzane, poétique et métaphysique. On n’a pas la réponse mais la question fait un bien fou.
“La connaissance de la vie est comme le sable : elle ne salit pas.” écrivait Elsa Triolet dans Luna-Park. Ce sable nous glisse entre les doigts mais surtout nous caresse le conduit auditif avec sa fausse douceur. Peut être ne verra t-on pas « la promesse des arbres verts », mais ce titre augure d’un panorama personnel et profond dans notre paysage musical.
Balzane – Du sable encore