On pensait que la confiture avait moisi pour les lyonnais d’Apple Jelly, on a du pot, ils reviennent avec un titre, Die, Motherfucker ! Die !!! avant (enfin) un album du même nom le 26 juin.
Parcours étonnant que celui d’Apple Jelly et de leur nouvel album Die, Motherfucker ! Die !!! enregistré en… 2013. Auraient-ils perdu le contrôle ? Le disque aurait-il été planqué dans un coffre fort dont ils auraient oublié la combinaison ? En tout cas, le titre d’ouverture, Die, Motherfucker ! Die !!! donne la direction avec une basse tendue hypnotique et un synthé épileptique dans une ambiance de clip à la Gaspard Noé. C’est glauque et électrisant et donne envie de revoir 13 Tsameti
Apple Jelly – Die, Motherfucker ! Die !!!
Tracklist : Apple Jelly - Die, Motherfucker ! Die !!!
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
On file sur la route de l’Estérel avec Joseph D’Anvers, mais davantage sur les traces du conducteur de Drive que de celui de la coccinelle. La nationale 7 se meut alors en Mulholland passé le mont Vinaigre, rendant les amours déçus vertigineux.
En attendant le clip d’On ne meurt pas (en une seule fois) le 25 novembre avec Martin Fourcade, on réécoute Tu ne savais pas réalisé par Thomas Lepage.
P.R2B se fait du mauvais sang. Elle court avec un sacré moteur dans le cœur et rêve de refaire Le film à l’envers. C’est une obsession pour cette femme fatale en furie.
C’est lundi, c’est boulot masqué. C’est aussi lundi méchant, le nouveau titre anti-morosité de Gaël Faye, extrait de son album du même nom à paraître le 6 novembre.
Pauline a délaissé la caméra pour la confier à Xavier Reim de la Blogothèque et se métamorphose en boxeuse future poids lourd de la chanson en français.
Regarde un peu la France de Thousand qui nous embarque avec Jeune femme à l’ibis dans un voyage qui ne sera pas le dernier vers son Paradis paru cet été chez Talitres.
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.
Mathieu se ferait-il des cheveux en chantant en anglais ? il est assurément notre caméléon musical préféré and we love him. Sa petite musique vient à point nommé onduler ce début d’année et ambiancer Mauricette.