[EXCLU] Vidéo : Adèle Coyo – De passage

Guérir de toutes mes blessures. On le souhaite tous. Bien sûr le vent décide mais l’on peut forcer le destin et regarder la mer avec assurance et optimisme. Shakespeare faisait dire à Timon d’Athènes que « les hommes sont des oiseaux de passage ». Alors il faut profiter de la vie, regarder l’horizon avec hardiesse et se laisser envoûter par les volutes de ce titre grave et ondoyant mis en musique par Delayre.

De passage est extrait de Sirènes, un EP à paraître le 24 octobre 2025. Adèle Coyo sera en concert notamment au festival La Pamperina à Thiers pour sa 26ème édition le vendredi 4 juillet et c’est gratuit !

Adèle Coyo – De passage

Je marche sur la plage,
Le vent, le sable chaud,
La tempête est au large
Je la sens sur ma peau
Les gens crient dans les bars,
Les gens crient dans les bars,
J’en entend des échos,
J’admirais les rivages,

La force tranquille des flots,
Revenir à la nage,
Une matinée dans l’eau,
Levons nos verres à l’horizon,
Où va l’horizon ?

Me jeter dans l’océan,
Une noyade, avant la fin des temps,
Guérir de toutes mes blessures,
Un voyage avant la fin des temps

Moi j’aimais les saisons,
La puissance des orages,
Les oiseaux de passages,
Et nos vies dans le ventre,
Des forêts au grand air
Ô perdu en hiver,

Moi j’aimais les saisons,
La puissance des orages,
Les oiseaux de passages,
Et nos vies dans le ventre,
Des forêts au grand air
Ô perdu en hiver

Je n’veux pas partir,
Je ne veux pas partir de là
Je n’veux pas mourir,
Je ne veux pas mourir comme ça

J’prendrai pas la navette,
Pour une autre planète,
J’préfère m’échouer là,
Et finir dans tes bras,
Le corps ouvert à l’horizon,
Où va l’horizon,
Où va l’horizon ?

Me jeter dans l’océan,
Une noyade, avant la fin des temps,
Guérir de toutes mes blessures,
Un voyage avant la fin des temps,

Moi j’aimais les saisons,
La puissance des orages,
Les oiseaux de passages,
Et nos vies dans le ventre,
Des forêts au grand air
Ô perdu en hiver

Moi j’aimais les saisons,
La puissance des orages,
Les oiseaux de passages,
Et nos vies dans le ventre,
Des forêts au grand air
Ô perdu en hiver

Je ne veux pas partir,
Je ne veux pas partir de là
Je ne veux pas mourir,
Je ne veux pas mourir comme ça,
Je ne veux pas partir,
Je ne veux pas partir de là
Je ne veux pas mourir,
Je ne veux pas mourir comme ça