« C’est une chanson country sur une fin de relation et une personne essayant de s’y accrocher » avoue J.E. Sunde. Elle figurera sur son nouvel album, 9 songs about Love qui sort chez Vietnam le 20 novembre.
Sowing the Seeds of Love chantait Tears for Fears. Et pourtant parfois rien ne pousse. Ou pire tout se fane. L’amour serait-il une lithographie ? On appuie fort au début et puis les mots doux s’effacent ou sont jetés au vent et on les poursuit comme un idiot. Love Gone to Seed. Il faut sans doute avoir un grain de toute façon pour croire en l’amour.
« Cette chanson parle de la fin d’une relation. Probablement une relation dont la fin est pour le mieux, même si l’homme tente vainement de la sauver. L’un des partenaires tente de s’accrocher à quelque chose qui a suivi son cours, tandis que l’autre croit que pour que l’amour soit vrai et mérite d’être poursuivi, il ne devrait pas être nécessaire qu’une personne fasse un quelconque compromis. »
Ne ratez pas par ailleurs I Don’t Care to Dance ci-dessous, renversant titre qui augure d’un disque immense.
9 songs about Love sort chez Vietnam le 20 novembre.
J.E. Sunde – Love Gone to Seed
I don’t want to believe that I’m not your man But I can if that’s really what you mean You asked me to pick in which of your hands clenched to fists Hides our love that’s gone to seed Then you cast it to the wind and I chased it like an idiot To see if I could capture it to see what I could hold on baby Baby hold on I’m asking you baby please Is there someone who could fill all your needs Is he out there just further back in line You smiled so sweetly and said sure as you Please when it’s true love you won’t need to compromise Then you cast it to the wind and I chased it like an idiot To see if I could capture it to see what I could hold on baby Baby hold on I’m asking you baby please Then you cast it to the wind and I chased it like an idiot To see if I could capture it to see what I could hold on baby Baby hold on I’m asking you baby please
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Désormais hébergé chez Vietnam (Chevalrex, H-Burns), J.E. Sunde poursuit la quête qu’il a débutée une décennie plus tôt ; à savoir écrire la chanson folk parfaite. Avec ce nouvel album, Love, Sunde démontre qu’il va falloir compter sur lui en 2020. Et pour le reste de votre vie.
Quand J.E. Sunde écrit que la chanson I don’t care to dance est la meilleure chanson de son répertoire, il faut l’écouter. Lui, car il ne dit rarement des bêtises. Et la chanson. Surtout la chanson.
Inspiré par Leonard Cohen et par Crosby, Stills, Nash & Young, JE Sunde fait mieux que tout le monde, double par le droite Steve Gunn et retourne la tête des nostalgiques de Sufjan Stevens avec Sunset Strip, son nouveau single qui précède la sortie d’un nouvel album.
Vietnam continue tranquillement son O.P.A. sur le marché français avec J.E. Sunde. Après avoir publié un premier single et un premier album, le label sort le clip de Color Your Nails.
Josh croit encore en l’amour, il en faut. Love in vain, in pain, in Spain. Ce nouveau titre est dédié à la mémoire de ses grands parents George et Trudy David.
On pourrait croire que les Lachinos rendent hommage à notre grognon national, notre Jean Pierre, notre ami Bacri avec ces deux titres enlevés, Fêtes de Mes Morts et Cáncer del Colon lui qui avait le sens de la fête et que le crabe nous a ravi.
La beauté a un nom est c’est Piers Faccini. Fall or to be reborn nous questionne t-il. On cherche tous un peu cette porte de sortie pour éviter la routine, les emmerdes, les échecs.
On aurait dû voir Julien Lesuisse avec son nouveau projet Crimi à Jazz à Vienne ou aux Trans Musicales de Rennes. On attend donc en mars sur le label Airfono un premier album Luci e guai avec ses acolytes Cyril Moulas (guitare), Brice Berrerd (basse) et Bruno Duval (batterie).
On devait passer un Super moment avec Didier au théâtre Comédie Odéon à Lyon car il est bien plus marrant que tous ces comiques de merde et puis la peste cholérique s’est abattue sur la France sans chars et ligne Maginot.