Lonny soit qui mal y pense. Retrouver ses mots pour se reconstruire. Rêver encore malgré tout. Oublier un temps le vide, l’exil intérieur.
Peintures de guerre pour combattre l’amertume. Penser à l’autre et panser ses plaies. Brûler le passé pour renaître. Passons l’hiver serein avec Avril Exil de Lonny.
Lonny – Avril Exil
« Et un temps d’Avril, ce qui fait songer sans cesse au voisinage de l’hiver, mais aussi à la victoire sur l’hiver, à la victoire qui arrive, qui doit arriver, qui est peut-être déjà là… il déborde de reconnaissance, rayonne sans cesse, comme si la chose la plus inattendue s’était réalisée : c’est la reconnaissance d’un convalescent – car cette chose inattendue, ce fut la guérison. » Friedrich Nietzsche
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
La 16ème édition du festival Nouvelles Voix en Beaujolais sera forcément différente mais aura lieu et c’est l’essentiel. Trop de lieux baissent les bras mais pas ce rendez-vous caladois qui depuis ses débuts soutient les artistes émergents que nous aimons vous faire découvrir.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.