Omar S, le gars qui ne sait pas ce qu’est un podcast, qui adore le mot « shit », qui joue à un jeu d’arcade nommé « Robotron » et à qui il faut écrire personnellement quand on veut commander un disque de son label nous fait un beau cadeau avec un compilation pour célébrer les dix ans de FXHE. Omar S – 10 Year Compilation Mix Part 1
Omar S
Il est content Omar S en 2014, il a une Nissan GTR et il se fout toujours autant des pochettes des disques qui sortent sur son label ce qui n’empêche pas la qualité d’être au rendez-vous. Voici donc réunis, Kai Alce, Jason Fine, Gunnar Wendel, O B Ignitt, Fit, Luke Hess, DJ Blend et Omar S bien sûr pour 16 titres de toute beauté. FXHE aurait déidé de sortir une compilation mixée tous les 3 mois cette année, à suivre donc.
Gunnar Wendel – 578 (Omar S. Berlin Mix)
Omar S and Ob Ignitt – Wayne County Hill Cop’s (Omar S Mix)
Luke Hess est son pote depuis qu’il a intitulé un de ces disques « Michigan Central Sation E.P. », Omar S est aussi mon pote depuis que je l’ai vu poser devant sa nouvelle voiture. Mes deux potes ne pouvaient que se rencontrer et s’apprécier.
Il est sympa Omar S. Tellement sympa qu’il a tenu à remercier ses fans de le laisser faire la musique qu’il veut. D’un autre côté si ses fans écoutent sa musique c’est qu’ils l’aiment… Enfin il me semble.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.