Chapter Music, l’un des plus gros labels indépendants d’Australie, est excité de nous annoncer la signature de The Goon Sax en son sein. Et nous, nous sommes excités à l’écoute de Sometimes Accidentally, le premier single de ces trois jeunes gens.
Nous voilà bien…
Les Goon Sax sont donc un jeune trio australien composé de Louis Forster (le fils de Robert Forster des Go-Betweens),de Riley Jones (la Moe Tucker sexy de l’affaire) et de James Harrison (le troisième larron).
Ils ont révélé être des amateurs des Pastels et des Apartments. Pas besoin de nous le dire les enfants, cela s’entend :
The Goon Sax – Sometimes Accidentally
Leur album Up To Anything est annoncé pour 2016. Sometimes Accidentally a donc le rôle de nous faire patienter quelques mois.
2016 est donc l’année de l’Australie en France. Peter Milton Walsh des The Apartments n’est pas encore dans l’avion qui le ramènera à Brisbane que quatre louveteaux de Sydney pointent leur museau avec un disque plus que sympathique…
L’année 2016 est déjà pliée pour les Australiens de The Goon Sax. Ce trio de jeunes premiers vient de ramasser 5 étoiles chez le très prestigieux The Guardian pour son premier disque Up To Anything. L’équivalent d’un FFFF chez Télérama doublé d’un disque du mois chez Rock & Folk pour ainsi dire.
Soul Kitchen reste en Australie cette semaine. Après avoir évoqué le cas d’Harley Young, voilà que nous avons des nouvelles de The Goon Sax, le groupe du fils de Robert Foster (The Go-Betweens).
Darc Rama en ce triste anniversaire n’a rien à voir avec Daniel (Darc). Davantage avec Robert (Smith) dont la sœur est la maman de Darc Rama et un père, Pearl Thompson, guitariste historique de The Cure.
Au croisement d’une compilation de Fiona Apple et de la discographie de Karen Carpenter, Marina Allen vient de trouver sa place. Et c’est Fire Records (The Chills, The Lemonheads et tant d’autres) qui se charge de propager les bonnes ondes.
Lucie Mena et Michael Sacchetti nous emmènent sur les routes d’Auvergne avec une superbe chanson. Que demander de plus ? Un EP. Souhait exaucé dans quelques mois.
Il y a des conjonctions par la pensée, des combinaisons d’étoiles et l’on est à notre place. Avec Em Meu Lugar, Chico Bernardes balance un coup de boule de douceur, on a envie de le suivre dans sa pérégrination introspective même si penser à l’autre se perd, où l’oubli devient une punition.
Pour faire vite, Gabriel Edé pourrait être le pendant chilien/brésilien de l’italien Andrea Laszlo De Simone avec ses mélodies barrées, ses harmonies bancales, ses arrangements luxuriants.
2021 prend la suite de 2020 et arrive avec son lot de surprises. Notamment musicales. Avec l’irruption de Steve Gullick, photographe, accompagné de James Johnston, ex-Gallon Drunk.