[1997 – 2017] Cool as The Dandy Warhols !

Trois avant de publier leur chef-d’œuvre Thirteen Tales from Urban Bohemia, les Dandy Warhols sortent ...The Dandy Warhols Come Down et montrent qu'il va falloir compter avec eux. Alors que le Royaume-Uni est placé sous neuroleptiques avec OK Computer, les États-Unis découvrent ces beatniks de Portland.


Avec …The Dandy Warhols Come Down, Courtney Taylor-Taylor et Peter Holmström passent la vitesse supérieure. Désormais hébergés sur un grand label, les 4 fantastiques de Portland ont les moyens de transformer leurs soirées opiacées en musique. Pour fêter les 20 ans du disque, nous nous sommes entretenus avec Courtney Taylor-Taylor et Tony Lash, l’ingénieur son mythique des Dandy Warhols.

Courtney Taylor-Taylor

Comment vous êtes-vous retrouvés sur Capitol ? Pourquoi avez-vous signé avec ce label ?

Courtney Taylor-Taylor : A cette époque, sept ou huit labels voulaient nous signer. J’avais fait une vidéo pour TV Theme Song avec un budget de 500 dollars que MTV avait diffusé dans l’émission 120 minutes. Et puis le disque Dandys Rule OK nous avait fait sortir de l’anonymat.

Discographie

The Dandy Warhols – TV Theme Song

Nous avons rencontré beaucoup pas mal de labels, visité leurs bureaux et dépensé pas mal de leur pognon. Au final nous avons décidé de signer chez Capitol car on pouvait embarquer le responsable de l’A&R aux soirées que nous faisions avec les Brian Jonestown Massacre. Dans ces soirées psychédéliques, tout le monde nous disait « Merde, vous n’allez pas signer avec ce type ! ».

Comment avez-vous rencontré Tony Lash ? Ça a été facile de travailler avec lui ?

Courtney Taylor-Taylor : Portland est une petite ville et il était le meilleur ingénieur que nous connaissions. Il le reste. Ce n’était pas facile de travailler avec lui mais c’est un type avec un putain de talent.

Ça a été facile d’enregistrer ce disque ?

Courtney Taylor-Taylor : C’était un processus long et maladroit. Les studios ne sont pas vraiment pensés pour le confort des musiciens… Nous avons donc commencé l’enregistrement par nos propres moyens dans un studio temporaire que nous avons conçu avec du matériel récupéré à droite et à gauche et qui a duré tout au long de notre carrière. Nous avons maintenant un studio géant digne des grandes des productions cinématographiques : nous avons donc tout le confort nécessaire.

Quel est ton meilleur souvenir ? Le pire ?

Courtney Taylor-Taylor : Notre premier mois d’enregistrement a été une accumulation ridicule de drogues et d’alcool qui semblait ne jamais finir. Nous avons passé presque tout le temps à faire de la « recherche pure ». Est-ce que ce bruit ne fait pas trop de bruit ? Est que cette petite mélodie n’est pas une trop petite mélodie ? Qu’est-ce que la musique et comment le savez-vous? Combien de temps un corps peut-il tenir sans nourriture ou dormir? Ce sont mes meilleurs et mes pires souvenirs.

Pourquoi avoir appelé ce disque … The Dandy Warhols come down ?

Courtney Taylor-Taylor : Nous aimons pas mal de phrases toutes faîtes et celle-là a remporté le gros lot. Nous avons dû descendre toutes les drogues et faire un bilan avec une certaine indulgence. Nous devions faire un disque pour l’écouter tout en ayant consommé de la drogue. Nous avions besoin de descendre de notre cheval élevé et de travailler au réel. Il y a probablement beaucoup d’autres significations aussi. Comme si nous étions descendus du paradis pour sauver les enfants cool du rap rock et de la radio metal de cette époque.

Mario Lalich a pris la photographie qui a servi pour faire la pochette de l’album. Où l’a t-il prise ?

Courtney Taylor-Taylor : Notre ami Arthur Chessman, qui possédait la boutique The Avalon Antiques, voyait défiler pas mal de jeunes artistes depuis des années dans son superbe appartement.

Quelle est ta chanson préférée ?

Courtney Taylor-Taylor : Ça change à chaque fois que je l’écoute. C’est souvent Green… Par ailleurs, cette chanson et plusieurs autres ont été écrites à propos de la femme qui a fini par épouser Duff McKeagan.

Quelle est l’histoire d’Everyday Should Be A Holiday ?

Courtney Taylor-Taylor : Pareil… Une autre chanson sur elle. Nous étions à Londres et elle était à Paris. Je pensais que nous aurions dû sortir ensemble et que travailler à deux aurait rendu le boulot comme des vacances.

The Dandy Warhols – Every Day Should Be A Holiday

Les critiques ont été fantastiques. Cela a été une surprise pour toi ? Vous avez changé de statut avec ce disque ?

Courtney Taylor-Taylor : La musique était dans un si mauvais état que ce ne fut pas une surprise. Nous avons eu des critiques de merde et ça ce fut la surprise ! Dans un restaurant parisien, un vieil idiot m’a parlé des philosophes Kierkegaard et Hume et a fait des réflexions inutiles sur l’Antiquité. Il nous a fait une critique de merde. Je lui ai dit qu’il était plus important de se rappeler où tu as garé ta voiture plutôt que de faire allusion au rasoir d’Ockham. Il y a eu ce genre de surprises…

Et ce son ? Comment l’avez-vous trouvé ?

Courtney Taylor-Taylor : Ce son m’a totalement ébloui. Tchad Blake a été incroyable au niveau du mix. Et puis on s’est permis d’avoir Bob Ludwig pour le mastering… Fuckingkiddingme !

Tony Lash

Comment as-tu rencontré les Dandy Warhols ?

Tony Lash : J’ai rencontré Eric Hedford en 1984 ou en 1985 au lycée. Nous étions tous les deux dans le groupe du bahut (le groupe que j’avais formé avec Elliott Smith à l’époque avait enregistré un album chez Eric). J’ai rencontré Courtney en 1989 lorsque nous étions tous deux dans des groupes. Nous jouions dans les mêmes clubs de Portland. Notre première collaboration fut le mix de l’album de Beauty Stab, son premier groupe. La scène musicale ici à ce moment-là n’était pas énorme, alors on s’est souvent croisé. La première démo des Dandy Warhols a été réalisée dans mon studio installé dans un sous-sol (studio que j’ai partagé avec Eric). C’est à ce moment j’ai rencontré Zia et Pete.

Quels sont tes meilleurs souvenirs de l’enregistrement de ce disque ?

Tony Lash : Ce fut agréable d’avoir un budget plus important que celui que nous avions eu pour Dandys Rule OK. Même si nous avons continué de travailler de manière assez économe, nous avons eu beaucoup plus de temps pour expérimenter les sons et pour prendre plus de soin des choses (bien que le temps supplémentaire puisse être une bénédiction soit une malédiction). J’aime bien le fait d’avoir travaillé avec le groupe dans son intégralité. Je pense que cela peut s’entendre dans l’A.D.N. du disque. Travailler avec Tchad Blake sur le mix a été très excitant, car j’étais un grand fan de son travail et il avait fortement influencé mon expérimentation lorsque nous étions en train d’enregistrer. Mais dans le mix, Tchad a apporté une touche de son talent et de sa créativité extraordinaire au son final du disque. Mon propre mix s’en est grandement amélioré.

Quel matériel as-tu utilisé ?

Tony Lash : C’est difficile de répondre dans le détail en une seule fois… Nous avons voulu que la batterie soit réglée de manière différente pour chaque chanson. Parfois, la batterie était entièrement équipée, d’autres fois j’utilisais juste deux micros, et nous expérimentions des jouets en guise de percussions, des tambours fortement déshabillés ou des cymbales vraiment détruites, etc. Même chose avec les guitares. J’ai eu un Vox AC-30 1963 que nous avons beaucoup utilisé, bien sûr, mais nous avons cherché différentes combinaisons de guitare / ampli / effet pour chaque partie. Je peux dire que les Coles 4038 et Manley Reference Gold ont été utilisés un peu, et je pense que la plupart des chants principaux ont été faits avec un Shure SM-7. Je me souviens aussi de faire un usage intensif des préamplis de microphone Summit superposés et des compresseurs Summit et Crane Song. Nous avons suivi dans trois studios différents et j’essayais constamment de combinaisons différentes, il est donc difficile de se souvenir avec plus de détails.

Comment as-tu trouvé le son des Dandy Warhols ?

Tony Lash : C’était un processus organique. Il n’y avait pas beaucoup de discussions avant d’aller dans le studio sur la façon dont les chansons allaient sonner. Nous étions créatifs sur le moment et nous testions pas mal de choses. Quand il était temps de commencer à travailler sur une nouvelle chanson, j’essayais souvent d’essayer quelque chose que je n’avais jamais fait auparavant de penser trop à cela. Donc, une bonne partie de ce disque est le résultat d’essais… ou d’erreurs. En outre, il faut mettre le nom de Peter au crédit de l’atmosphère de ce disque. Très souvent, il travaillait lui-même avec des amplis et des pédales dans son coin et d’un seul coup on attendait ce qu’il faisait: «Hé, ça me paraît incroyable !»

Quelles ont été les difficultés de l’enregistrement ?

Tony Lash : Deux choses me viennent à l’esprit.
C’était ma première grosse production pour une grande maison de disques et je pouvais ressentir les grandes attentes de celle-ci. Le groupe avait déjà tenté d’enregistrer l’album qui ne fonctionnait pas, alors les gens de Capitol étaient un peu inquiets. J’ai ressenti beaucoup de pression pour que le disque soit «commercialement viable», et parfois cela m’a empêché d’être trop audacieux avec la production. Je pense que Courtney avait l’impression de devoir parfois me sortir de ma zone de confort. L’autre chose, c’est que Courtney aime bien écouter beaucoup de choses, et il va commencer à deviner, changer d’avis et constamment vouloir retravailler. Je comprends que c’est juste son processus. Parfois de bonnes idées et de nouvelles directions intéressantes en sortent. Mais, cela peut te paraître incroyablement frustrant parce que tu ne sais jamais si les choses sont finies. Et parfois les très bonnes idées du départ se perdaient. Je suppose que nous avons chacun frustré l’autre à sa manière!

Quelle est ta chanson préférée de l’album?

Tony Lash : Si je devais en garder une ce serait Good Morning.

The Dandy Warhols – Good Morning

Je suis toujours très heureux quand je l’écoute, même vingt ans plus tard. La batterie et la basse, le mur de la guitare fuzz de Peter font un sacré barouf derrière le chant. J’ai aussi un faible pour cette chanson car c’est la première chanson que j’ai mixée à Portland après avoir travaillé avec Tchad… Et c’était d’un niveau au-dessus si on la compare à tous mes essais précédents. Et qui arrive à faire une introduction de 90 secondes sur une chanson pop publiée sur une major ?

The Dandy Warhols - ... The Dandy Warhols come down

… The Dandy Warhols come down des Dandy Warhols a été publié par le label Capitol.

Vous pouvez retrouver le travail de Tony Lash sur son site officiel :

Retrouvez les articles relatifs aux Dandy Warhols :

Retrouvez les articles de la série [1997-2017] :

The Dandy Warhols - ... The Dandy Warhols come down

Tracklist : The Dandy Warhols - ... The Dandy Warhols come down
  1. Be-In
  2. Boys Better
  3. Minnesoter
  4. Orange
  5. I Love You
  6. Not If You Were The Last Junkie On Earth
  7. Every Day Should Be A Holiday
  8. Good Morning
  9. Whipping Tree
  10. Green
  11. Cool As Kim Deal
  12. Hard On For Jesus
  13. Pete International Airport
  14. The Creep Out

English text

Courtney Taylor-Taylor

How did you meet the team of Capitol Records ? Why did you sign a deal with this label ?

we had seven or eight labels vying for us at the time. I had made the video for TV Theme Song with a 500$ budget and mtv played it at midnight on 120 minutes two weeks in a row. the record Dandys Rule Okay then jumped in visibility. We met alot of label people, visited alot of label offices and spent a fuckload of their money and what we decided was that we weren’t embarrassed to take the Cpitol A&R guy to parties with the Brian Jonestown Massacre. In fact all the psych rock groovies would come up to us and say shit like « are you gonna sign with that guy/he’s amazing.

How did you meet Tony Lash ? It was easy to work with him ?

Portland was a small town and he was the best engineer we knew. Might still be. No he wasn’t easy to work with but damn he is a talented sonofabitch.

How easy was the recording process of this album ?

It was a lengthy and awkward process. Studios arent really designed for comfort so that started our method of recording ourselves with borrowed equipment in a temporary studio of our own design which has lasted through the entirety of our career. We now have a giant studio with film production as well so that we can really enjoy the whole job.

What’s your best memory of this recording process ? And the worst memory ?

Our first month of recording was a ridiculous drug and alcohol party that seemed to never end. we spent almost the whole time doing « pure research’. how much noise was too much noise? how little music is too little music? what IS music and how do you know? how long can a body go without food or sleep? These are my best and my worst memories.

What’s the reason behind the title … The Dandy Warhols come down ?

We really like loaded phrases with multiple meanings and this one took the cake. we had to come down off all the drugs and high minded indulgence in order to make a real record. We needed to make a record to listen to while coming don off drugs. We needed to come down off our high horse and get to work for real. There are probably many more meanings as well. like we came down from heaven to save the cool kids from rap rock and radio metal of that era.

Our friend Arthur Chessman who owned The Avalon Antiques was a dear old queen who had a great scene of young artistes filtering thru that amazing flat over the years.

What’s your favorite song of this LP ?

It changes every time I listen. Usually though its Green. Incidentally that song and several others were written about the woman who ended up marrying Duff McKeagan.

What’s the story of Everyday Should Be A Holiday ?

There ya go. Another song about her. We were in London and She was in Paris. Ithought we should be hanging out together and making work seem like vacation every day.

The reviews about this album were fanstactic. It was a surprise for you ? The Dand Warhols became a « huge » band…

Music was in such a bad state that I dont think it was a surprise. We did get some shitty reviews and those were the surprise. I had some silly old man in Paris grill me on Kirkegaard and Hume and a bunch of other pointless musings in antiquity and he gave us a shitty review cuz I told him it was more important to remember where you parked your car than to recite Occam’s razor. That was a surprise.

How did your find the sound of this album ?

I was blown away. Tchad Blake was amazing to work with as a mixer and then to be able to afford Bob Ludwig to master it ? fuckingkiddingme

Tony Lash

How did you meet the Dandy Warhols ?

I met Eric Hedford in 1984 or ’85 in high school, where we were both in the school band (the band I was in with Elliott Smith at that time recorded an album at Eric’s house). I met Courtney around 1989 when we were both in bands and played the same clubs here in Portland. My first experience with him in the studio was mixing a couple of songs for his band (Beauty Stab). The music scene here at that time was not huge, so we saw each other around often. The first Dandy Warhols demo was done in my basement studio (which I shared with Eric) so that was when I met Zia and Pete.

What were your best memories of this recording process ?

Compared to the tiny budget we had for Dandys Rule OK, it was nice to have a larger, major-label budget to work with. Even though we were still working in our very low-budget way, we had much more time to experiment with sounds and take more care generally (though the extra time can be a blessing and a curse). I like that we almost always did full band, live backing tracks, as I think you can hear that in the organic feel of the record. Also, getting to work with Tchad Blake on the mix was very exciting, as I was a big fan of his work and he had heavily influenced my experimentation when we were recording. But in the mix, Tchad added a whole new layer of extraordinary talent and creativity to the final sound of the record. My own mixing got so much better after working with him.

Which material (microphones/amps/console) did you use ?

It is hard to answer this one in detail . . . We would do different drum setups for every song. Sometimes the kit was fully mic’d up, others I just used two microphones, and we would experiment with toy drums, or heavily detuned drums, or really trashed cymbals, etc. Same thing with the guitars. I had a 1963 Vox AC-30 that we used a lot, of course, but we would go for different guitar/amp/effect combinations for every part. I can say the Coles 4038 and Manley Reference Gold were used quite a bit, and I think most of the lead vocals were tracked with a Shure SM-7. I also remember making heavy use of overdriven Summit microphone preamps, and Summit and Crane Song compressors. We tracked in three different studios and I was constantly trying different combinations, so it’s hard to remember in better detail.

How did you find the sound of the Dandy Warhols ?

It was an organic process. There was not a lot of discussion before going in the studio about how the songs would sound. It was much more about being creative in the moment, and seeing what worked. When it was time to start working on a new song, I would often just try something I had never done before without thinking about it too much. So, much of it was just trial and error. Also, quite a bit of credit for the atmospherics should go to Peter. Quite often he would be off by himself playing with amps and pedals for a while and suddenly we would notice, “Hey, that sounds amazing!” and so I’d quickly get a microphone on it.

What were your difficulties about this recording process ?

Two things come to mind. This was my first high-profile production for a major label, and I could feel the high expectations. The band had already made one attempt at recording the album which didn’t work out, so the people at Capitol were feeling a bit apprehensive. I felt a lot of pressure for the record to be “commercially viable,” and at times this made me worry about being too unconventional or daring with the production. I think Courtney felt like he had to push me out of my comfort zone at times. The other thing is that Courtney really likes to listen to things many, many times, and he will start second-guessing, changing his mind, and constantly wanting to rework things. I understand it’s just his process, and sometimes good ideas and interesting new directions come out of it. But, it could be incredibly frustrating because you never knew if things were really done, and sometimes really good initial ideas would get lost. I suppose we each frustrated the other in our own way!

What’s your favorite song of this album?

I guess if I had to pick one, it would be “Good Morning”. Listening to it 20 years later, I am still really happy with it. The drums and bass, and that wall of Pete’s fuzz guitars work together to create such a rush behind the vocals. I also have a soft spot for it because this was the first song I mixed back in Portland after working with Tchad, and it was so much better than the ones I had tried before. And who gets to do a 90 second ambient intro on a major-label pop song any more?

Pouet? Tsoin. Évidemment.

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