Arno veut vivre et nous aussi on veut qu’il vive pour continuer à nous assommer d’émotions avec sa gouaille et ses chansons revisitées au piano avec Sofiane Pamart.
La Santeboutique d’Arno est ouverte et c’est un peu « l’tourbillon de la vie ». On s’aime, on vieillit, on s’aime encore, un peu, plus comme au début et l’on rêve des étreintes passées, de ascenseur émotionnel.
Un clip simple, un titre simple. Arno nous met une claque une fois de plus avec sa voix, sa gouaille, son humanité. Il balance son spleen qui percute le notre. Cela devrait faire mal et cela fait un bien fou.
Comment ne pas se répéter après 11 disques solo et plus de 35 ans de carrière ?