Le Cousteau entomologiste de la pop française, le hobbit chantant et dansant Chevalrex balance ses bombinettes pop intimistes en fanfare dans un des albums en français de l’année, Anti Slogan sorti en mars chez Vietnam / Because.
Avec Bonjour chez moi, on découvre un Chevalrex solitaire fuyant le brouhaha pour calmer ses nerfs avec qui jouent trop les filles. Une retraite musicale pour un fragment d’un discours amoureux que l’on pourrait décliner en citations de Stendhal extraites de De l’amour :
“La beauté n’est que la promesse du bonheur.” “Posséder n’est rien, c’est jouir qui fait tout.” “On peut tout acquérir dans la solitude, hormis du caractère.” “La plupart des hommes ont un moment dans leur vie où ils peuvent faire de grandes choses, c’est celui où rien ne leur semble impossible.” “J’appelle plaisir toute perception que l’âme aime mieux éprouver que de ne pas éprouver.” “Mais qu’est-ce que la beauté ? C’est une nouvelle aptitude à vous donner du plaisir.” “Le mauvais goût, c’est de confondre la mode, qui ne vit que de changements, avec le beau durable.” “L’amour est le miracle de la civilisation.”
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Écrit en partie l’hiver dernier sur l’île de la Désirade (Guadeloupe), Providence prend élégamment la suite d’Anti Slogan et nous fait espérer des jours meilleurs avec des chansons puissantes et tenaces.
Bon ok, Chevalrex est poilu comme un singe. Mais enfermé dans son cabinet de curiosité, il trousse de magnifiques chansons à emporter jusqu’à notre dernière demeure.
Providence était gorgée de lumière, de guitares et de claviers scintillants. Tant de fois dévoile le côté plus sombre de la boule à facettes de Chevalrex pour annoncer son nouvel album disponible le 22 janvier 2021 chez Vietnam.
Avant de clôturer l’année 2019 de fort belle manière le temps d’un concert au 104, Chevalrex revient avec un EP, Amiral Pop et continue de flotter au dessus des flots.
Chevalrex ou le tiercé gagnant de la pop française. Avec un disque ambitieux et inspiré, Rémy Poncet aka Chevalrex rafle tout sur son passage et sort enfin de l’ombre.
High then low. Avec Rescue Me, Fredrika Stahl nous tend un miroir pour lutter contre l’enfermement progressif que cela soit dans nos lieux de vie ou dans nos têtes.
Can’t get away, cannot turn the page, I’m a rat in a cage. On est derrière Balthazar, on ne voudrait pas se retrouver sur le sable, le vent en poupe, le cœur en sang.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.