« Si vous voulez écrire une chanson d’amour, commencez par vous faire larguer. C’est la base, quoi… Et après, on en reparlera… Cela vous a rendu méchant ou vulnérable, cela vous a mis en colère ou donné envie de retrouver l’amour… Il faut être passé par là. » assure Benjamin Biolay au magazine 20h30 le samedi.
Se souvenir des belles choses. Ne penser qu’au positif, qu’aux miettes de bonheur. Et face à la mer, penser au jeune Léaud et à ses 400 coups. Tenir ses promesses malgré les trahisons.
Ne me dites pas non. Vous cherchez un son et des images pour vous redonner un peu de baume au cœur qui flanche dans la grisaille.
Nous étions confinés et Christophe nous a quitté. Et même si beaucoup savent quel immense bonhomme c’était, il faut réécouter les 60 ans de carrière de ce touche à tout, de cet esthète de la chanson pop.
Avec ce titre, Pomme tend un miroir à des milliers de jeunes filles. Grandiose ose. Et on espère le droit pour toutes d’avoir « un enfant dans le ventre ».
Bientôt la rentrée et Ondara a toujours le blues. Mais point de visages émaciés ou de danses de Saint Guy pur cette avant dernière vidéo parisienne mais des chats qui ont peut être soufferts de la présence continuelle et envahissante de leurs maîtres.
Benjamin Biolay avec Ton âme est bleue, mon visage est pâle fait peut être écho au Pale blue eyes du Velvet Underground, « Sometimes I feel so happy, sometimes I feel so sad ». Ces mêmes moments banals où l’on s’attarde sur des signes ou surtout l’absence de signes quand tout se finit un 14 août.
Ondara à Bali. Notre reporter folk de l’intime cloîtré poursuit la déclinaison de son Tales of isolement avec la douceur d’un noir et blanc et les gestes délicats et gracieux du jeune chorégraphe Lalu Indra Jaya Pratama.
Direction Brooklyn pour la suite de l’aventure intérieure de J.S. Ondara avec Isolation Depression Syndrome, sans doute le titre le plus poignant extrait de Tales Of Isolation.
On poursuit notre voyage en visages avec J.S. Ondara avec un nouvel extrait de son album Tales Of Isolation qui passe cette fois-ci par Tokyo avec l’a cappella Shower Song, miroir de nos âmes tourmentées.
Nobody wins in war. J.S. Ondara avec cette Ballad Of Nana Doline prend des accents du Boss façon The river mâtiné de Born in the USA.
Après Los Angeles, Melbourne, Madrid, le stratosphérique J.S. Ondara nous emmène cette fois sur les hauteurs de Bogotá.
Qu’est ce qui fait bouger Théo et Raphael de Terrenoire, c’est évidemment l’amour. Mon âme sera vraiment belle pour toi est une déclaration simple dans des paysages luxuriants.
Quand on réécoute Dry sorti en … 1992, on continue à se prendre la même claque, l’enchaînement Oh My Lover, O Stella, Dress, Victory continue à nous foudroyer les tympans et Sheela-Na-Gig demeure un hymne imparable. Alors l’annonce des Dry Demos nous fait mouiller d’impatience.
On n’a pas d’ami comme lui. Et on ne peut dire non aux amis. Avec Ne Me Dites Pas Non, Stephan Eicher fête allègrement nos retrouvailles avec un titre simple, joyeux, plein d’entrain, un chasse spleen pétillant qui nous fait réécouter ses Homeless songs et lire ces quelques mots.
Vendredi 12 est le deuxième extrait de Grand Prix après Comment est ta peine ? et c’est une nouvelle pôle position pour Benjamin Biolay dans la course aux amours impossibles.
Flaming Pie, le dixième album solo de Sir Paul est réédité luxueusement pour les soins de la Paul McCartney Archive Collection après le dernier en date, Wings over Europe toujours sous la supervision du maître.
L’an dernier il nous avait fait onduler du bassin avec son EP, Tenemos Todo, Mathieu Des Longchamps revient avec un titre, Les bras dans les bras, mis en images par ses soins.
« Si les rues sont si grandes, c’est pour respirer » et c’est l’auditeur qui a « un oiseau dans le ventre » avec une Pomme nature qui nous cueille en plein vol.
SK* a demandé à une centaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de NEEV qui vient du Portugal, révélé en 2016 par le carton du single Breathe aux côtés du trio électro Norvégien Seeb.…
SK* a demandé à une centaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de Swan Melani, Ovni musical qui surgit en pleine guerre des mondes. Martien vocal, Swan Melani crée un univers où glissent majestueusement…
Benjamin Biolay dévoile la pochette de son prochain disque, Grand Prix chez Polydor. Départ ce vendredi 24 avril avec un premier extrait en écoute. En attendant, suivez le sur les réseaux pour ses reprises éclairées.
Ils sont les rappeurs qui revendiquent fièrement leur accent chantant du sud ouest, le même que celui de mon amie Audrey, celle qui aurait été ma Big Flo si j’avais été Oli.
Lana Del Rey trône désormais au sommet de la chanson populaire. Et comme les bons vins, elle se bonifie avec le temps après six disques et ce golden album, ce classique immédiat, Norman F***ing Rockwell.
La vie de Pomme, ce n’est pas de la tarte. Elle se raconte dans Les Failles, son album de la maturité ou plutôt de la liberté. Et elle nous fait défaillir avec sa simplicité et son authenticité.
Il y a des disques qui vous prennent par surprise, qui vous étreignent. D’artiste dont on n’attendait plus grand-chose. Ils touchent peut-être parce qu’il y a une connexion physique et mentale qui s’opère.
Découvert en 2012 avec Home Again (un disque brillant produit par le leader des The Bees), Michael Kiwanuka avait forcé la porte des charts avec Love & hate. Le revoici avec Kiwanuka, un disque qui tient du chef-d’oeuvre.
Alors évidemment c’est très subjectif. Comparaison n’est pas raison comme le dit si bien la philosophe Sophie Marceau. Mais on va oser, on préfère le sincère Eicher au religieux claudiquant et grave Cave. Les SDF acoustiques aux clochards certes célestes en-nappés de synthé.
C’est une chanson bleue que propose le barde suisse Stephan Eicher. Si tu veux (Que je chante) est une ode à la simplicité écrite par le fidèle ami Djian, une Love song en creux, un aveu intime extrait de son nouveau disque, Homeless Songs sorti le 20 septembre.
Rock n’Roll Boys dans les vignes hier soir à Charnay en Beaujolais !