Arman Méliès vient de sortir le deuxième album de sa trilogie à venir, Basquiat’s Black Kingdom, après Roden Crater paru au mois de mai.
Le concert au Théâtre de la Ville de Paris le 25 septembre est complet et l’on comprend aisément pourquoi à l’écoute du puissant Basquiat’s Black Kingdom. Ce deuxième album défouraille dès l’ouverture avec Le voyant et ses 9 minutes fiévreuses et son explosion (dans le ciel) de couleurs sonores en hommage à Jean-Michel Basquiat. Avec Riding With Death, il faut souffrir pour réussir la figure et ne pas se la casser. Les claviers à la John Barry viennent panser les guitares qui cisaillent les chevilles. On attend donc le voyage à Laurel Canyon avec impatience, Arman Mélièsbrûlera de ses mots incendiaires les collines d’Hollywood.
Arman Méliès – Riding With Death
Arman Méliès – Gray’s Anatomy
Arman Méliès - Basquiat's Black Kingdom
Tracklist : Arman Méliès - Basquiat's Black Kingdom
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, "Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique...", Davantage Grincheux que Prof si j'étais un des sept nains, j'aime avant tout la sincérité dans n''importe quel genre musical...
Si vous avez raté la légende pop-rock d’Hollywood sur Arte, Arman Méliès vous convie à Laurel Canyon, dernière étape de son périple américain après Roden Crater et Basquiat’s Black Kingdom.
L’Enfant Qui Marchait Dans La Couleur est la première plage du nouvel album d’Arman Méliès, Roden Crater, voyage instrumental dans son cratère intime, bande originale envoûtante du monde en pleine mise au point.
« Je vous hais de vous avoir tant aimé » chantait comme une évidence Maissiat dans Le départ qui ouvrait son premier magnifique album, Tropiques. Ce fut comme une évidence pour Arman Méliès de reprendre ce titre avec son grain de voix et un clip futuriste fascinant.
L’an denier pour sa première édition, le festival Les Belles Journées à Bourgoin-Jallieu n’avait pas bénéficié de la clémence des cieux avec pourtant une programmation de très grande qualité axée sur la scène française indépendante. Malgré la pluie, Isaac Delusion avait ambiancé le parc des Lilattes dans un final époustouflant.
En 2015, les photographies de Thurston Moore à La Route de Rock avaient été autant de coups de semonce pour le public. Attention, grand photographe en approche… Mais qui a donc figé la bouille de l’ex Sonic Youth ainsi ? Sevrette dîtes vous. Intéressant.
Avis de tempête dans la rédaction de Télérama ! En effet, deux albums ont été publiés ce vendredi 23 octobre 2015 avec le fameux petit autocollant promotionnel qui indique que chacun de ces deux disques a reçu la note de « FFFF » dans les colonnes de l’hebdomadaire culturel préféré des enseignants et des pigistes de tout…
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.
Mathieu se ferait-il des cheveux en chantant en anglais ? il est assurément notre caméléon musical préféré and we love him. Sa petite musique vient à point nommé onduler ce début d’année et ambiancer Mauricette.