Nicolas Tarik est un conteur musicien voyageur. On lui a posé quelques questions autour de son nouveau titre, libre, ode aux personnes que l’on a dans la peau passionnément et fougueusement, que l’on retrouvera sur son nouvel album, Gibraltar qu’il présentera à la Salle Barbara de la MJC Montchat le jeudi 24 novembre prochain.
Martin Luminet n’est pas un saint, il refuse de donner son manteau ou peut être sa camisole. Car on est tous un peu prisonnier des souvenirs et l’on voudrait Y revenir comme l’écrivait Dominique Ané, souvent.
Françoiz Breut invite Jawhar à s’enfuir, à sauver sa peau et à laisser ce monde.
Se dire au revoir. On voudrait ne pas être ému. Les larmes affleurent, le regard se trouble. Ce n’est pas la fin et pourtant.
L’année dernière, Carole Pelé n’avait rien à raconter. En cette rentrée, elle se pose des questions existentielles avec Si c’était Dieu dont le clip a été tourné dans le magnifique amphithéâtre d’honneur des Beaux-Arts de Paris.
Avant la sortie de Tarbes le 14 octobre chez Kwaidan et Kuroneko et après la fontaine de jouvence Place de Verdun, La Féline se souvient de ses premiers émois musicaux avec Je dansais allongée véritable ascenseur émotionnel et miroir de notre adolescence.
Après un premier EP vivifiant, le duo Ottis Cœur revient avec Labrador, un ascenseur émotionnel entendu il y a peu à Rock en Seine.
Après Rends l’amour ! et Les joues roses, Benjamin Biolay déstructure (Un) Ravel.
Oete s’est fait des amis cet été, de ceux que l’on a pas envie de quitter, de ceux dont on a besoin du corps moite et charnel.
Les petits suisses du Roi Angus ont quitté leurs îles essentiel, ont surfé sur La Wax et deviennent grands avec Sous ta fenêtre premier extrait d’un troisième album, Sosie à paraître en janvier.
La 8ème édition du festival les Belles Journées au parc des Lillates de Bourgoin-Jallieu aura lieu le vendredi 9 et le samedi 10 septembre.
On avait quitté Léonard Lasry sur la Via Condotti, déambulation avec Charlotte Rampling sous le ciel azuréen romain, on le retrouve à Naples où le bleu de mer regarde nos yeux.
Tout est bon dans le Timoléon. Qu’il hésite entre Vishnou ou Arinna, entre Proust et Engels, Thibauld Labey (Trumpets of Consciousness) nous emballe avec une playlist enthousiasmante et quelques conseils pour l’été.
Timoléon Le Jardinier ne possède pas de moustaches mais a la main verte pour les mélodies ensoleillées. On l’avait croisé cette année au fond de l’océan, le revoilà qui secoue son arrosoir sur on s’emballait.
Avec NEVΛDΛ, Emilie Marsh fait sa Thelma sans Louise et son périple est passionnant.
Quatre ans après Manifeste, Jérémie Kiefer sort Exode le deuxième album de sa trilogie sur l’amour en fuite un premier avril. Et cela ne fait pas rire.
Attention, grand disque. D’abord son titre, La mélodie, le fleuve et la nuit qui est une invitation à la divagation. Et puis la petite musique de Jérome Minière qui s’instille avec délice, simple et juste.
La vie est un tour de grand huit. Mais attention à la force centrifuge. Les trajectoires sont rarement parallèles.
Dimoné pourrait avoir la médaille Fields des allitérations, être chevalier de l’ordre national des jeux de mots. Le piano de Jean Christophe Sirven suffit pour que ce démon de Dimoné glisse sa prose poétique dans les interstices de nos vies pour nous mettre à l’amende et nous faire sortir de la route.
La Féline ne perd pas la boule et la mémoire. Elle revient sur son adolescence tarbaise et sort ses souvenirs du placard.
Ne pas tourner le dos. Sortir la tête hors de l’eau. Pomme aime après l’enfer et rend un hommage sensible et stupéfiant à Nelly Arcan.
Le cours de Pethrol prend de la valeur avec en exclusivité leur nouveau titre Capital avant la sortie d’un album en français à la rentrée.
On connait le Lyon Presqu’île de Benjamin Biolay, voilà que glisse, majestueux le Ma ville de Kent en préambule à un album prévu pour la rentrée.
Kacimi est sans doute le secret le mieux gardé de Suisse. Auteur, compositeur, producteur, chaque apparition dévoile une facette de ce kaléidoscope musical.
Après Ailleurs, Muet chante Mille mots et tape dans le mille.
Peter Peter vient de sortir un EP, Session Live H2T chez Audiogram où il reprend six de ses chansons en acoustique.
Arno doit certainement faire du cancan avec les nuages. Disparu le 23 avril dernier, le belge bourlingueur revient déjà avec La vérité extrait d’un album à paraitre prochainement.
Jo & Jean viendront chanter leurs chansons sensuelles et censées ce mercredi 1er juin au Café de la Danse à Paris.
On a tenté de suivre le soleil pour trouver le paradis. Résultats, des maux et trop de larmes. Vanessa Philippe perd la tête dans l’aquarium de nos nuits.
Oui, on aime énormément Louis-Jean Cormier pour ses chansons sensibles. Mais c’est surtout sur scène que sa générosité éclate. Sa fidélité au théâtre Comédie Odéon à Lyon permet des retrouvailles le dimanche 29 mai, il nous chantera les lignes de ta main en espérant de bonnes augures.
