Troisième volet des Lost Themes du Master of horror, John Carpenter qui a composé la plupart des musiques de ses films. Avec Alive After Death, les images surgissent immédiatement, angoissantes et réjouissantes : « la bande-son des films dans votre esprit ».
Son du jour - page 25
Le sociologue Gérald Bronner écrit dans son récent Apocalypse cognitive : « l’écran est l’arme du crime idéale pour cambrioler notre cerveau ». Avec Animal Cabadzi braque le notre pour mieux nous libérer.
A Ghost Story. Ici, point de stage poterie ou alors pour se les balancer à la figure. It It Anita dégaine la sulfateuse pour nous sortir du tunnel (of love).
Qui en ces temps contraints ne rêve pas de fuir ? Isabel Sörling avec Flee s’échappe sans bouger et nous ouvre la porte de notre cage intime.
Danny Elfman pour beaucoup ce sont les musiques pour Tim Burton ou Gus Van Sant. Plus de cent films au compteur. Avec Love In The Time Of Covid il dévoile notre monstrueuse solitude avec ou sans pandémie.
« Créer, c’est toujours parler de l’enfance. » écrivait Jean Genet. Avec FYRS l’enfance est une matrice qui induit nos comportements d’adulte.
Quatre ans après Ayo nommé aux Grammy, Bomba Estéreo revient avec Deja, un album dédié aux quatre éléments « car ils font partie de l’équilibre des êtres humains. »
On s’est aimé d’accord. Laurence-Anne nous fait de l’œil avec la pochette d’Indigo extrait de son futur deuxième album chez Bonsound.
Jolie Louise Combier continue de nous séduire avec un titre humble et intime enregistré et mixé par Thibauld Labey (Trumpet Of Consciousness).
On a tellement besoin de douceur dans cet océan de souffrance. Todo Tiene Su Fin est mis en images par Jeremiah, poète vidéaste amoureux.
Jérôme Minière égaye notre morne dimanche soir avec Deux choses à la fois et sa petite mélodie au magnéto à K7. Se jeter à l’eau et rester sans voix. On a parfois la frousse alors qu’il faut simplement oser même si c’est pour mieux sombrer.
Fredrika Stahl est la fée électricité qui illumine nos nuits sombres. Sa voix douce et chatoyante nous emmène au Pays imaginaire, celui où l’on n’est plus seul, où l’on espère un signe de vie.
« Les grands embrasements naissent de petites étincelles. » écrivait dans son testament politique le Cardinal de Richelieu. Et c’est bien d’embrasements qu’il s’agit, d’une brusque combustion, d’un déchaînement libérateur.
High then low. Avec Rescue Me, Fredrika Stahl nous tend un miroir pour lutter contre l’enfermement progressif que cela soit dans nos lieux de vie ou dans nos têtes.
Avec Ce que tu cherches de Léopoldine HH on a trouvé le titre optimiste et dansant pour se trémousser lors du (concon)confinement qui se profile.
Can’t get away, cannot turn the page, I’m a rat in a cage. On est derrière Balthazar, on ne voudrait pas se retrouver sur le sable, le vent en poupe, le cœur en sang.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans […]
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.
Non, BBCC ne signifie pas barbecue même si l’on se damnerait pour une merguez party. BBCC, c’est BangBangCockCock et leur Human Capital fout la trique autant que leur clip en exclusivité fout la migraine.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.
Mathieu se ferait-il des cheveux en chantant en anglais ? il est assurément notre caméléon musical préféré and we love him. Sa petite musique vient à point nommé onduler ce début d’année et ambiancer Mauricette.
Vera, what has become of you, does anybody else in here feel the way I do ? mélancolisait Roger Waters dans son album sur l’enfermement que les exégètes 3.0 moquent dans leurs salons virtuels.
Isaac & Nora chantent l’Amérique du sud et ici reprennent Mis Noches Sin Ti le classique paraguayen et l’une des plus belles chansons du monde interprétée entre autre par Luis Mariano, Nino Bravo, Claudia de Colombia, ou encore cette version étonnante à la télévision dans l’émission Terere Jere et bien sûr plus récemment par Berta […]
Sir Paul est toujours vert avec son McCartney III peaufiné à la maison. Find My Way semble être la parfaite ritournelle pour commencer la nouvelle année si vous êtes adepte de la méthode Coué.
Il y a des chansons qui sont des temples sacrés, des miroirs qu’on promène le long d’un chemin que beaucoup ont parcouru, des mots simples qui vous broient après y avoir cru, vous égrugent après s’être fait gruger, vous mettent en morceaux après avoir glané des bribes de bonheur. On a tous un jour ou […]
Se souvenir des belles choses. Ne penser qu’au positif, qu’aux miettes de bonheur. Et face à la mer, penser au jeune Léaud et à ses 400 coups. Tenir ses promesses malgré les trahisons.