Pethrol enflamme l’automne avec un clip mystérieux en noir et blanc.
Son du jour - page 76
Attention, titre renversant, groupe naissant et pourtant déjà passionnant, Grand Blanc se dévoile au grand jour et son Degré Zéro donne un coup de chaud à la cold wave à la française.
Encore un très beau clip pour Benjamin Fincher après Long Distance, voici Go outside.
Il fallait des corps et de la peau pour incarner ce titre ultra sensuel de Sarh, U and I du duo composé de DJ Pone et de José Reis Fontao.
Jean-Louis Murat et The Delano Orchestra racontent une histoire vraie.
San Ku Kaï c’était la bataille, ici c’est Bagarre avec Mourir au club.
Frànçois aux yeux de jade et sans foi ni loi séduit la fille aux cheveux de soie.
L’ange James Vincent McMorrow revient à l’affût de nos émotions. Look out est extrait du sensuel et stratosphérique Post Tropical paru en début d’année et qui continue de nous vriller l’âme.
Nonchalance adolescente, petit coin de paradis entre le Lagon bleu et More, sensualité exacerbée, The Words You Said est une ode aux siestes crapuleuses.
Perfume Genius s’entoure de Frères Jacques argentés sur Grid pour une grande bouffe colorée.
« Le sport, c’est de la merde » chantait Jacno. Les Peter Kernel ne sont pas loin d’être d’accord.
Tempus Fugit. Dans les clips contemporains, on est plus habitué à des séances d’effeuillage que d’habillage. Ici, un toréador sur le déclin voit défiler sa vie avant l’estocade finale.
« Rien n’est trop difficile pour la jeunesse. » disait Socrate alors briller comme des étoiles ne devrait pas poser trop de problème au bubble couple The Pirouettes.
Encore un clip qui invite au voyage avec le vancouvérois (si,si !) Bear Moutain et sa descente du Congo.
Le formidable Ovni musical, Le Monde Möö de Moodoïd est en vente dans toutes les galaxies civilisées depuis à peine un mois que déjà surgissent en images Les chemins de traverse.
Justin Townes Earle est peu connu en France tout comme Townes van Zandt à qui son nom fait référence à cause d’un père qui admirait le chanteur texan.
Images léchées, savants ralentis, corps humain magnifié, nature célébrée accompagnent les incantations d’Alt-J sur ce Every Other Freckle, extrait de This Is All Yours à paraître le 23 septembre.
Anciens de La Phaze, les nantais de Pungle Lions font de la musique joyeuse pour faire la java.
Encore un très chouette projet de français en français.
Point besoin d’avoir l’âme romantique pour goûter à la musique de Keaton Henson.
Après The Violent Life and Death of Time Lester Zimbo, un album qui racontait une incroyable histoire fictive en musique, 49 Swimming Pools revient avec Songs of Popular Appeal le 22 septembre.
« Il y a toujours dans notre enfance, un moment où la porte s’ouvre et laisse entrer l’avenir. » affirmait Graham Greene.
Que ma joie demeure disait l’autre. Joy ne fait ni dans la cantate, ni dans la visitation mais pourrait bien être dans la lumière avec un deuxième album, All The Battles réalisé par John Parish et John Dent, dans les bacs le 7 octobre chez Caramel Beurre Salé.
Qu’il est nickel ce titre des Allah-Las ! Plein de guitares rieuses, de pa pa pa, de sourires dans la voix.
Flip Grater, chanteuse nu-pieds néo zélandaise néo parisienne nous propose d’humer The Smell of Strangers.
Une vingtaine de disques au compteur et une voix reconnaissable entre toutes, CharlElie Couture devient ImMortel.
Fences, c’est Christopher Mansfield de Seattle où il ne pleut pas tout le temps. Sur cet Arrows très Andersonien, il invite Macklemore et Ryan Lewis à une partie de chasse un peu particulière où il faut suivre les flèches et éclater les barrières musicales. Le deuxième album de Fences Lesser Oceans sera disponible en octobre.
Deux approximations dans ce nom, A Sunny Day In Glasgow. Peu de soleil en Ecosse et le groupe est australo-américain.
Turner Cody est unique, c’est un troubadour moderne qui aime bourlinguer à travers l’Europe dans une vieille caisse pourrie pour des concerts improbables avinés en apesanteur ou traîne dans ce Brooklyn qu’il aime tant entre Cendrars et Kerouac.
Voix traînante, mélodies lancinantes et hypnotiseuses, le Love d’Amen Dunes figurera assurément en bonne place dans les tops inutiles de fin d’année. Lilac in hand est une incantation étrange, un psaume animiste pas très éloigné des divagations de Daniel Johnston.