Le sociologue Gérald Bronner écrit dans son récent Apocalypse cognitive : « l’écran est l’arme du crime idéale pour cambrioler notre cerveau ». Avec Animal Cabadzi braque le notre pour mieux nous libérer.
Chanson française - page 20
Lucie Mena et Michael Sacchetti nous emmènent sur les routes d’Auvergne avec une superbe chanson. Que demander de plus ? Un EP. Souhait exaucé dans quelques mois.
Deuxième extrait de La ruée vers l’or de Matt Low disponible le 2 avril 2021 chez Microcultures / Kuroneko.
On s’est aimé d’accord. Laurence-Anne nous fait de l’œil avec la pochette d’Indigo extrait de son futur deuxième album chez Bonsound.
Ah les belles Bacchantes ! Amélie Grosselin (Fordamage), Astrid Radigue (Mermonte), Claire Grupallo (Sieur & Dame) et Faustine Seilman sortent un premier album radicalement différent de la production actuelle avec des compostions orgiaques sur des poèmes terriblement contemporains.
Jolie Louise Combier continue de nous séduire avec un titre humble et intime enregistré et mixé par Thibauld Labey (Trumpet Of Consciousness).
Jérôme Minière égaye notre morne dimanche soir avec Deux choses à la fois et sa petite mélodie au magnéto à K7. Se jeter à l’eau et rester sans voix. On a parfois la frousse alors qu’il faut simplement oser même si c’est pour mieux sombrer.
SK* a demandé à une centaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour d’Icare Vertigo qui dévoile le premier titre de leur album à paraître le 5 mars, Ma place pour Mars. « Je vous céderais […]
« Les grands embrasements naissent de petites étincelles. » écrivait dans son testament politique le Cardinal de Richelieu. Et c’est bien d’embrasements qu’il s’agit, d’une brusque combustion, d’un déchaînement libérateur.
Avec Ce que tu cherches de Léopoldine HH on a trouvé le titre optimiste et dansant pour se trémousser lors du (concon)confinement qui se profile.
Écrit en partie l’hiver dernier sur l’île de la Désirade (Guadeloupe), Providence prend élégamment la suite d’Anti Slogan et nous fait espérer des jours meilleurs avec des chansons puissantes et tenaces.
Nino nous manque car on partage son blues des rues désertes et ses questions existentielles.
Nicolas Comment et Éric Elvis Simonet poursuivent notre éducation sentimentale et poétique avec la figure du dandy, le beau Brummell jeune roturier devenu militaire dont l’amour caresse avec une cravache.
On est open pour Lily Luca et ses chansons plus efficaces qu’un Lexomil. Elle nous offre en exclusivité son clip qu’elle a entièrement réalisé en stop-motion pour aller à la rencontre de Matthieu.
On devait passer un Super moment avec Didier au théâtre Comédie Odéon à Lyon car il est bien plus marrant que tous ces comiques de merde et puis la peste cholérique s’est abattue sur la France sans chars et ligne Maginot.
Mathieu se ferait-il des cheveux en chantant en anglais ? il est assurément notre caméléon musical préféré and we love him. Sa petite musique vient à point nommé onduler ce début d’année et ambiancer Mauricette.
J’entends nos membres qui crépitent, Je vois tes veines qui palpitent, Et nos corps s’entremêlent. Françoiz Breut dévoile un premier titre lascif et charnel de son prochain disque, Le Flux Flou de La Foule le 19 mars chez Trente Février.
« Si vous voulez écrire une chanson d’amour, commencez par vous faire larguer. C’est la base, quoi… Et après, on en reparlera… Cela vous a rendu méchant ou vulnérable, cela vous a mis en colère ou donné envie de retrouver l’amour… Il faut être passé par là. » assure Benjamin Biolay au magazine 20h30 le samedi.
La paternité change un homme assurément. Elle lui fait aussi écrire de beaux textes, simples, généreux, animistes.
Cinq ans après Corpo Inferno, les Mansfield. TYA reviennent au grand jour. Phantasmagorique comme la musique des Damned, le futur sonique de ce duo nous promet les enfers.
Soul Kitchen lance en exclusivité mondiale les petits kits inutiles. Des kits à monter chez soi qui ne servent strictement à rien, mais grâce auxquels tu pourras vivre des moments privilégiés avec tes chanteuses et chanteurs préférés, tout en restant dans ton salon.
S’échapper du zoo, de la connerie crasse consumériste de Noël, des injonctions de sizaine pendant que les aristocrates bambochent à la lanterne ! Ah ! ça ira, ça ira, ça ira ! Réjouissons-nous, le bon temps viendra !
Partir loin. Loin des duperies duplices. Mirages évanouis. Nuages noirs. Toucher du bois. Croiser les doigts.
Enfin un premier album pour Matt Low après deux EP, Banzaï en 2015 et Hangar Bleu nuit en 2016. Et il faudra se précipiter sur La ruée vers l’or, un bijou de sensibilité inondé de lumière malgré sa gravité.
Cabadzi prend perpet’ avec Cabane. Rater sa vie c’est déjà ça alors on augmente la dose de Burrhus pour tailler la route avec Blanche neige sans les nains.
Matin blême. Gueule de bois. Et la lumière. Ecouter Balzane nous poinçonner le cœur avec Dans l’erreur les lilas.
Deuxième extrait de Nouveau de Nicolas Comment & Eric Elvis Simonet sur les pas de Germain Nouveau, mendiant d’un amour incertain où « vivre est une torture puisque vivre sépare » selon Camus dans Les Justes.
Soul Kitchen lance en exclusivité mondiale les petits kits inutiles. Des kits à monter chez soi qui ne servent strictement à rien, mais grâce auxquels tu pourras vivre des moments privilégiés avec tes chanteuses et chanteurs préférés, tout en restant dans ton salon.
On sait depuis longtemps que Martin Luminet est un garçon qui vit le cinéma. Normal car le cinéma c’est la vie. Bon, ok, petit Jean premier sinistre de la forêt de Vic-Fezensac empêche les pelotages du dernier rang, mais Martin Luminet renoue pour la bonne cause sanitaire avec le drive-in en solitaire. Cœur d’artichaut Martin […]
Il ne resterait plus qu’à attendre. Pour le meilleur. Un côté seventies et sérénade désaturée, col roulé et petit feu de cheminée, et puis la peau de bête, synthétique, inspiration allemande, berlinoise même. Une naïade allongée, deux au mieux, pas plus, inutile d’exagérer, et juste pour le style, et un mâle posé là, un peu […]