Folk - page 11
Jeremy Earl, le patron des Woods est un acharné. Il a attendu la publication de son quatrième disque pour attirer l’attention des médias et a décroché ce qu’il est convenu d’appeler du succès avec City Sun Eater in the River of Light, son neuvième album.
Si vous n’avez pas encore écouté Santa Cruz, même si cela parait incroyable, on ne peut que vous conseiller une séance de rattrapage qui vous fera assurément languir du nouvel album, Heavy Dancer en devenir chez Microcultures.
SK* a demandé à une vingtaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour des lyonnais de GHST et de son folk d’un autre âge et pourtant radicalement contemporain.
The Head and The Heart, référence indie-folk-rock à l’américaine ont sorti leur album, Signs of Light en septembre dernier et seront à Paris le 28 janvier pour une date au Flow. À cette occasion, les joyeux lurons ont dressé un chouette top 10 pour SK*
On va être honnête, on ne connaissait pas Mike Wexler, auteur de deux albums (Sun Wheel en 2007, Dispossession en 2012) et qui a sorti le mois dernier, Syntropy. On remercie donc la Blogothèque et Colin Solal Cardo pour ces 5 minutes en apesanteur avec cette version à l’os de Ayin.
This self-styled old white blues guy from Yorkshire is one of the most under-rated heroes of our time. With his uniquely English melancholic perspective and emotive guitar style he deserves wider recognition. Voilà la conclusion de la biographie de Michael Chapman que l’on peut lire sur son site officiel.
Il y a encore de beaux artisans en France, Vincent Estival alias By The Fall en fait partie.
Peter Harper débarque en Europe. Peter Parker ? Non, Peter Harper. Ben Harper, toujours pas. Son frère, Peter.
Débusqué par Burberry et soutenu par Fred Perry, l’Anglais L.A. Salami a réussi deux exploits cette année. Le premier est d’avoir publié un disque de grande qualité qui est totalement passé inaperçu. Le second est d’avoir écrit des réponses plus que courtes que nos questions dans le mail que nous lui avons envoyé.
SK* a demandé à une vingtaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de Raoul Vignal, le joyau le mieux gardé du coffre à musique lyonnais.
Nazca était venu présenter son premier EP, Of Lights And Shades lors de son French Kiss au Club Transbo, l’occasion d’un big hug avec une grande partie de la scène musicale lyonnaise.
Alors qu’Isabelle Casier est de nouveau en studio pour donner une suite à son projet Pollyanna, nous nous arrêtons aujourd’hui sur son autre projet : Polly & The Fine Feathers.
SK* était à La Maroquinerie hier soir pour le premier des deux concerts qui fêtent les 15 ans du label bordelais Talitres.
Ladybug and the Wolf ne s’est pas échappé du carnaval des animaux. Le duo stéphanois semble être sur un nuage depuis la sortie de leur premier album, Mammatus.
Talitres s’est rarement trompé dans ses choix mais parfois il faut prendre des risques. Qui aurait parié sur un jeune homme fluet ayant appris la Kora au cours de ses pérégrinations africaines dans un monde où l’électronique dévore tout, où règne l’auto-tune ?
Des santiags, des cactus, un Stetson, l’Arizona et Howe Gelb avec sa voix de velours posée sur un piano jazzy, c’est terrible !
On avait un peu perdu de vu Benjamin Francis Leftwich depuis son premier album remarqué, Last Smoke Before the Snowstorm en 2011. Il a sorti son deuxième disque,After the rain en août chez Dirty Hit et sera en concert le lundi 24 octobre au Point Ephémère à Paris, l’occasion de lui poser quelques questions.
Andy shauf est un magicien, un magicien des sons et des arrangements.
C’est dans le chouette quartier de Pigalle et ses environs que s’organise le MaMa Festival : 3 jours, 120 concerts, 13 salles d’ampleurs tout à fait diverses, où les labels viennent faire souffler un vent de nouveauté sur la scène parisienne, en présentant de nombreuses découvertes françaises et internationales.
il y a des artistes que l’on suivra partout, de Goudargues à la Californie en passant par Cournon d’Auvergne chez Denis le viking.
Un son du jour pour un des disques de l’année, Away d’Okkervil River qui nous emmène très loin au plus profond de nous même.
La Suisse, pays de cocagne musical. Avant le couronnement du Roi Angus le 14 octobre avec un premier album, Iles essentiel, pur bijou pop, voilà qu’un autre groupe genevois fraye avec un lyonnais talentueux, Lauren Stuart.
On savait Kramies francophile. Sa rencontre avec la délicate et sublime Alma Forrer avait fait des étincelles et nous avait subjugué. Il avait aussi déjà croisé la route de Manuel Ferrer et de A Singer Must Die lors d’un concert mémorable au grand théâtre d’Angers qui avait séduit l’immense Maneval.
Déjà auteur de deux albums (le somptueux Birthdays et le très électro Romantic Works), Keaton Henson et son mal être reviennent par la grande porte cette année. Désormais signé chez un grand label (PIAS), Henson va pouvoir montrer à l’Europe entière toute l’étendu de son talent et de son désespoir.
Le huitième album des strong>Okkervil River sera publié le 9 septembre 2016 mais le site NPR a décidé de le mettre en ligne et de nous faire pleurer comme des madeleines.
Révélée par le très calviniste Burn Your Fire for No Witness en 2014, Angel Olsen revient plus forte que jamais en 2016 avec My Woman. Sur ce nouvel album, Olsen se libère totalement en faisant disparaître ses propres limites.
A Rock en Seine, vendredi en début d’après-midi, le public a pu faire la découverte de la voix grave et profonde de Théo Lawrence (& The Hearts). SK* a eu l’occasion de rencontrer ce Franco-Canadien de 21 ans, et d’en savoir un peu plus sur le jeune prodige.
Cette treizième édition du fameux festival Rock en Seine se sera déroulée sous une chaleur caniculaire, loin des glissades dans la boue et des bottes de pluie qu’on a pu connaître certaines années. Comme d’habitude la programmation très éclectique a permis de drainer un public qui l’était tout autant.
Angel Olsen n’a jamais aussi bien porté son prénom. Voix frissonnante à la Stevie Nicks, elle est une ‘natural woman’ de son temps.