Deuxième extrait de Palais d’argile le nouvel album de Feu! Chatterton qui sort le 12 mars avec leur version intense et en français du poème de Yeats, Avant qu’il n’y ait le monde déjà magnifié par Van Morrison ou The Waterboys.
Son du jour - page 34
En 2014, la NASA publiait une photo du Soleil aux pôles bleutés. En 2021, Soleil Bleu est un astre musical qui risque de vous éblouir davantage l’ouïe que la rétine.
KCIDY rend les gens heureux même avec sa mélancolie frénétique.
José González n’est pas trop speedy. Il revient avec un nouveau titre en espagnol chez City Slang, après six années de disette mais cela valait le coup d’attendre.
L’incompréhensiblez attitudz dez Vianneyz à The Voicez vous indiffèrez ? Regardez le Talent Show avec Fredz qui a tutoyé l’azur avec les presque 2 millions de stream de sa mixtape Personne ne touche le ciel.
Branchez la guitare acide, faites vrombir la basse, résonner la caisse claire. On avait trop vite oublié que Mustang était un groupe de rock. Pas cher de la nuit nous le rappelle magistralement avec la claque d’un troisième album qui se déploie vers la formidable chanson qui lui donne son titre, memento mori.
La Reine Garçon s’assoira t-elle sur le trône de la chanson audacieuse en français en 2021 ? On veut bien parier un Louis d’or à l’écoute du délicat Mon amour à la mer, le premier extrait d’un album à paraître le 21 mai.
Avec Déjà vu, Marion Brunetto est davantage Chagrin que Requin avec Déjà vu le premier titre du troisième album de Requin Chagrin, Bye Bye Baby à paraître le 9 avril 2021 chez KMS.
Dom a rencontré sa Juliette et l’alchimie est immédiate. Les voix de Dom La Nena et de Julieta Venegas s’emmêlent dans un tourbillon de la vie.
Victor Solf connait bien les accidents de la vie. Et la volonté de ne pas rentrer dans les cases avec I Don’t Fit, prélude à son futur album après un EP rougeoyant.
Méthode Coué pour Mogwai avec leur nouvel album, As The Love Continues à paraître le 19 février 2021 chez Rock Action Records.
Troisième volet des Lost Themes du Master of horror, John Carpenter qui a composé la plupart des musiques de ses films. Avec Alive After Death, les images surgissent immédiatement, angoissantes et réjouissantes : « la bande-son des films dans votre esprit ».
Le sociologue Gérald Bronner écrit dans son récent Apocalypse cognitive : « l’écran est l’arme du crime idéale pour cambrioler notre cerveau ». Avec Animal Cabadzi braque le notre pour mieux nous libérer.
A Ghost Story. Ici, point de stage poterie ou alors pour se les balancer à la figure. It It Anita dégaine la sulfateuse pour nous sortir du tunnel (of love).
Qui en ces temps contraints ne rêve pas de fuir ? Isabel Sörling avec Flee s’échappe sans bouger et nous ouvre la porte de notre cage intime.
Danny Elfman pour beaucoup ce sont les musiques pour Tim Burton ou Gus Van Sant. Plus de cent films au compteur. Avec Love In The Time Of Covid il dévoile notre monstrueuse solitude avec ou sans pandémie.
« Créer, c’est toujours parler de l’enfance. » écrivait Jean Genet. Avec FYRS l’enfance est une matrice qui induit nos comportements d’adulte.
Quatre ans après Ayo nommé aux Grammy, Bomba Estéreo revient avec Deja, un album dédié aux quatre éléments « car ils font partie de l’équilibre des êtres humains. »
On s’est aimé d’accord. Laurence-Anne nous fait de l’œil avec la pochette d’Indigo extrait de son futur deuxième album chez Bonsound.
Jolie Louise Combier continue de nous séduire avec un titre humble et intime enregistré et mixé par Thibauld Labey (Trumpet Of Consciousness).
On a tellement besoin de douceur dans cet océan de souffrance. Todo Tiene Su Fin est mis en images par Jeremiah, poète vidéaste amoureux.
Jérôme Minière égaye notre morne dimanche soir avec Deux choses à la fois et sa petite mélodie au magnéto à K7. Se jeter à l’eau et rester sans voix. On a parfois la frousse alors qu’il faut simplement oser même si c’est pour mieux sombrer.
Fredrika Stahl est la fée électricité qui illumine nos nuits sombres. Sa voix douce et chatoyante nous emmène au Pays imaginaire, celui où l’on n’est plus seul, où l’on espère un signe de vie.
« Les grands embrasements naissent de petites étincelles. » écrivait dans son testament politique le Cardinal de Richelieu. Et c’est bien d’embrasements qu’il s’agit, d’une brusque combustion, d’un déchaînement libérateur.
High then low. Avec Rescue Me, Fredrika Stahl nous tend un miroir pour lutter contre l’enfermement progressif que cela soit dans nos lieux de vie ou dans nos têtes.
Avec Ce que tu cherches de Léopoldine HH on a trouvé le titre optimiste et dansant pour se trémousser lors du (concon)confinement qui se profile.
Can’t get away, cannot turn the page, I’m a rat in a cage. On est derrière Balthazar, on ne voudrait pas se retrouver sur le sable, le vent en poupe, le cœur en sang.
On court tous derrière une Elsa. Un mirage qui enrage. Une addiction qui fait souffrir. On prend des coups de l’autre mais surtout de soi-même. On essaye de s’échapper, de se raisonner, de se libérer, mais l’on continue de poursuivre un fantôme.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans […]
João Selva est un garçon d’Ipanema qui a atterri à Lyon et à rencontré son Phil Spector, le sorcier multi-instrumentiste Bruno Patchworks pour un deuxième album intitulé Navegar, titre qui ouvre le disque et fait le grand écart entre les deux continents qui savent ambiancer le reste du monde.