Un peu de groove et d’espoir au coeur de l’été, c’est le credo des Buttshakers avec leur nouveau titre, Not in my name.
Son du jour - page 31
De l’espoir. En vadrouille (peut être à Montpellier), Maxime et Eugénie nous content sous les draps leur histoire moite qui peut être ne tient qu’à un fil.
L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai. L’Amérique, l’Amérique, si c’est un rêve, je le saurai. On veut tous avoir cette Amérique, ce mirage métaphorique, ce graal utopique.
Se perdre pour mieux se retrouver. Cathy Lucas et ses Vanishing Twin proposent un rendez-vous au clair de lune avec Ookii Gekkou, « une sorte d’attrape-rêves pour toute la folie de l’année écoulée. »
Safia Nolin s’électrise pour mieux nous survolter sereinement et nous mettre en PLS émotionnel.
Oublier ce que vous croyez savoir sur l’amour. En dix Love songs, Upper Wilds réinvente la carte du tendre en temps de pandémie. Un amour fou et rugueux sur une autoroute stridée de guitares saturées comme ce sentiment violent que l’on recherche jusqu’à la souffrance.
Golden est le troisième extrait du futur album de Zella Day qui a collaboré avec Weyes Blood ou Lana Del Rey à paraître à l’automne chez Concord Records et ce morceau vaut de l’or.
BRNS s’essaye aux sons synthétiques avec Suffer pour notre plus grand plaisir.
On aime Aimee Mann depuis notre sauvetage floral en 1999.
Si vous aimez la pop ouatée introspective, les doux rugissements de Low Roar vous caresseront l’échine et rendront peut être les lendemains plus acceptables.
Un an après l’apocalypse dans le port de Beyrouth, Eliz Murad rend hommage à son pays natal avec un titre d’une douloureuse douceur.
Vital : essentiel à la vie d’un individu, d’une collectivité. Pour les canadiens de Big ‡ Brave, la vie se transforme en longues plages bruitistes telluriques.
Un disque à la maison. Love will be reborn sortira le 20 août 2021, il a été enregistré à Montréal, dans le sous-sol de son café Ursa qui est aussi son studio.
Dombrance convie tous ses amis en costume Arnys pour un rallye dansant à la salle Wagram.
C’est aujourd’hui que l’on se met un grosse lampée de Lump, duo composé de Mike Lindsay, troubadour de Tuung et Laura Marling touche à tout folk britannique qui sort ce jour son deuxième album Animal qui fait mal (à la concurrence).
Miss Nessie n’est pas originaire du Loch Ness mais de Strasbourg. Le trio d’aliens a sorti de leur garage un deuxième EP, Laquedem.
Le misfit John Grant poursuit son introspection avec County Fair extrait de son dernier album, Boy from Michigan produit par Cate Le Bon.
Baptiste W. Hamon et Julien Barbagallo s’offrent avec Barbaghamon un split album en français né pendant la claustration. « Rien n’était prévu mais tout arrivait »…
Rendre hommage sans dommages. H-Burns et Lou Doillon nous saluent avec cette immense chanson du roi Léo.
Pas de pause pour MNNQNS avec un nouvel extrait de leur récent EP, Deviant By Ego avant un prochain deuxième album très attendu ici et Overseas.
De la liberté. De celle qui fait défaut en ces temps troublés de doxa contre doxa. Et pourtant nous (sur)vivons tous sous le même soleil. Frédéric D. Oberland (Oiseaux-Tempête, Foudre!, Le Réveil des Tropiques) nous offre en six titres un abri, un asile musical, un refuge salutaire.
Oubliez Idles ou Shame, Mad Foxes déboule avec un disque, Ashamed qui transforme la plage en champ de bataille.
Hiroshima, désamour. Amor à mort. Corps à désaccords. L’amour blesse au plus profond, de la conquête à la défaite.
Après le formidable concert d’H-Burns et ses invités à la Philharmonie rendant hommage à Leonard Cohen, voilà que sa voix vient à nouveau nous hanter avec un extrait d’un poème du barde canadien mis en musique par Daniel Lanois.
Become one. Rodrigo Amarante ne fait pas de Drama quand il chante le Tango. Séduction, galanterie,
On connaissait les jeunes gens mödernes dans les années 80 avec l’amiral Etienne Daho, voilà que déboule les garçons sauvages d’Andrée Beaubois.
Hasards et coïncidences. Retrouver un ami perdu de vue dans la vraie vie le jour où sort ce titre. Mais retrouver Albin de la Simone, c’est aussi retrouver un ami, un artiste sensible aux failles qui nous ressemblent.
S’entrainer à vivre avec sa peine pour apprendre à moins souffrir et à la supporter. Cela parait facile en chanson, au quotidien ça l’est beaucoup moins.
Des lendemains qui chantent avec Son Lux ? Pas sûr avec A Different Kind of Love extrait de Tomorrows 3 qui clôt leur triptyque sombre et réaliste en quête d’un Graal inaccessible.
La plage n’est pas forcément synonyme de sea, sex and sun. Cela peut être cette douce torpeur indolente qui nous envahit sous un parasol, aspirant à la quiétude quand la frénésie et les fracas de l’année se sont tus.






























