C’est la sainte Odette, celle qui s’enlaidit en s’amputant le nez pour éviter de se marier. Mais aujourd’hui c’est plutôt Noël avant l’heure avec l’exhumation d’images d’il y a presque 40 ans du groupe mythique néo zélandais The Chills avec Rolling Moon qui figurait sur l’EP fondateur Dunedin Double avec aussi Sneaky Feelings, The Stones […]
Son du jour - page 44
La beauté est parfois difficile à trouver dans un monde de compromission et de concussion. Mais elle peut surgir subitement avec ce fond de tiroirs de The National et cette chorégraphie gracile sous marine.
Qu’est ce qu’on ne ferait pas pour la peau ? chantait Hannibal Lecter. Paz, une bande de durs à cuir(e) déclare la guerre à la pop insipide angélique et nous lacère l’épiderme avec un premier titre puissant et à fleur de peau.
En ce jour où le vent d’hiver souffle en avril, Facteurs Chevaux nous propulse au Firmament avec ce premier extrait en images de leur nouvel album baume bucolique Chante-Nuit disponible le 8 mai.
Austra avait gravi l’Olympia et son Future Politcs avait remué le petit monde électro-pop. HiRUDiN sort le 1er mai chez Domino et va vous mettre le sang aux joues avec ses chœurs séraphiques comme sur ce nouvel extrait, Mountain Baby.
Si The New Abnormal vous lasse déjà, réécoutez les bidouillages de Pictish Trail et son Thumb World, un monde de liberté, de poésie, d’authentiques jours heureux.
Besoin de grand air, de jardin bucolique, de mélodies apaisantes avant le sacrifice sur l’autel du patriotisme économique ? Old Wow le nouvel album de Sam Lee vous caressera l’échine courbée par le labeur.
Bebel Gilberto fait partie du patrimoine brésilien comme ses parents. La boss de la nouvelle bossa-nova revient avec un album, Agora et se charge de tout avec ce premier titre, Deixa.
Les Raoul Petite reviennent avec un nouvel album, Ni vieux, ni maître, toujours anars et toujours humanistes.
« En Amérique Latine, « Mota » désigne l’herbe, et « Perreo » la façon sensuelle et viscérale de danser sur du reggaeton. » Tout est dit pour renverser son salon avec ce titre extrait du prochain EP de Michelle Blades, Nombrar las cosas qui sortira le 5 juin chez Midnight Special Records.
Rien ne l’empêche, l’oiseau, Andrew Bird d’aller plus haut, avec Capital Crimes un titre qui balance, une bossa cabossée au violon électrique qui dénonce l’inhumanité d’hier et d’aujourd’hui. Où est la honte ? Où est le sentiment de honte ? Partout où règne la douleur.
L’ascension d’Alison Mosshart en solo sera t’elle plus réussie que celle de Skywalker ? Elle prend la tête d’une armada de voitures tunées pour ‘dégouailler’ ce premier titre enregistré pour le dernier épisode de la série Sacred Lies diffusé aujourd’hui sur FacebookWatch.
N’en déplaise à Gainsbarre, ces enfants de la chance nous permettent de connaitre les transes et d’attraper un cœur entre ces hanches que l’on remue à l’écoute de ce nouveau titre de Magenta.
On les avait découverts en avril dernier à l’Épicerie Moderne à Feyzin en pleine tournée mondiale pour leur premier album, Carnaval Odyssey. Le temps de se poser un peu, revoilà Dowdelin avec nouvel EP, Poul Wélélé qui risque d’ambiancer les basse-cours avec ce premier extrait en exclusivité, Funky Chicken.
On a découvert Balzane avec du sable encore et depuis elle sème des graines musicales d’une infinie douceur. On s’envole aujourd’hui pour un atoll.
Pour les non bilingues ou pour les fainéants, Charles-Baptiste adapte en français et au piano le récent Murder Most Foul, chef d’oeuvre de Bob Dylan. Et en plus d’être bouleversant et éclairant cela change des concerts conconfinés.
Avoir la fièvre pour celle que l’on désire est encore plus difficile si l’on est « coincé sur le bord » ou confiné solitaire. Elle est là mais on ne peut l’atteindre alors il ne reste qu’à dire son nom pour la faire apparaître.
« Mais qu’il ne meurt jamais, mon amour imparfait, amour à l’imparfait. » On a beau vouloir comme Clarika oublier, l’amour est plus fort que le désamour.
« The sky is red, and the world is on fire » chante Joan Baez sur son dernier disque qui met un terme à sa gigantesque carrière. Pourtant il reste de nombreux combats mais si peu de femmes de sa trempe.
Ron Sexsmith nous fait visiter son cosy Hermitage avec bibelots en céramique et vitraux animaliers. Il fait jaillir la lumière avec ce Glow In The Dark Stars tout nu et qui met les poils.
15 jours enfermés et l’on se retrouve transporté 30 ans en arrière avec les clermontois de Niandra Lades et leur sombre untitled w/ bass aussi noir et rugueux que de la pierre volcanique.
Nous vivons tous un fiasco depuis un mois. L’illusion démocratique qui fait croire au vulgum pecus qu’il délègue la gestion d’un pays et du bien commun à des gens qui en auront la charge et n’en feront pas un métier. Quel fiasco. Il nous reste la colère et la rage ou les constats cliniques et […]
Qu’écrire d’intelligent sur Bob Dylan en 2020 ? Pas grand chose. Alors autant se régaler de cette « chanson jamais sortie, enregistrée il y a un moment maintenant », une fresque musicale de presque 17 minutes, le ‘il était une fois en Amérique’ du Zim’.
Von Pourquery serait-il dans la lune, la tête dans les étoiles ? Il s’envole et nous avec pour un voyage entre superman et 2001 l’odyssée de l’espace.
Austyn ne pantoufle pas et file à l’anglaise en français avec ses Grenson au cuir souple et mélodieux.
Quand on écoute ce You drive my mind de Niandra Lades, youtube nous propose de poursuivre par Debaser des Pixies, une filiation logique pour les lutins auvergnats qui dilatent le temps et son confinés dans les 90′.
Dear Prudence, won’t you come out to play ? Dear Prudence, greet the brand new day, the sun is up, the sky is blue, it’s beautiful and so are you chantait en 1968 un petit groupe anglais sur un album immaculé écrit en colo en plein air. En 2020, surgit des confins du confinement ce […]
Louise Combier possède une sacrée voix qui nous amignonne l’âme et ouvre une fenêtre pour une grande bouffée d’air pur.
Trop de TAF ? Cela tombe bien en ces temps incertains et ensoleillés, Slogan vous propose un éphéméride de choses à faire si vous manquez d’idées.
On avait quitté Gontard moribond à l’hôpital. Le revoilà avec un message à caractère informatif qui rend hommage à ses chers disparus.






























