Burning Peacocks est un duo composé d’Alma au chant que l’on a vu dans La vie d’Adèle et petite fille du génial Alexandre Jodorowsky et de David, ingénieur du son multi-instrumentiste aux compositions.
Son du jour - page 74
Se prénommer Alma, c’est déjà une indication sur la profondeur de cette jeune artiste qui éclot, « Sa robe de pourpre au Soleil ».
Premier titre qui colore la grisaille de cet automne frémissant pour la drômoise Marion Elgé.
On assiste à la multiplication de Robi sur L’éternité, c’est tendu, c’est beau, le temps se suspend.
Grosse madeleine que ce Want to believe du plus givré des canadiens Rich Aucoin.
L’amitié adolescente, indéfectible, pure, immarcescible, le don et le contre don, on se provoque, on se jauge, on se compare, on s’aime ?
Après trois EP, voilà enfin le premier album des franco-suisses The Monkberry Moon Orchestra. Velvet Glove s’enfile sans peine, plein de shebam, de pow, de blop, de wizz ou de yeah ! Alors même si ce ne sont pas des rosbifs qui attaquent, l’ambiance sixties est assurée sur Last Farewell par des guitares sautillantes qui […]
Name dropping sous acide pour 1=0 avec ce tous qui égrène jusqu’à la migraine les références que beaucoup partagent.
Le taulier de la rubrique Son Du Jour de SK ayant posé ses congés, on en profite et on invite des filles. Après les Buns, un autre duo féminin, Lily & Madeleine. Deux sœurs qui ont décidé de quitter en catimini le camp de vacances ultra coincé de la banlieue d’Indianapolis pour aller rejoindre des […]
Dans la série, « il faut de tout pour faire un monde », voici les Buns. Un duo féminin qui ne jure que par l’Amérique des années 50 et par les racines du rock…. On aura tout vu dans ce bas monde. Un premier single vient de tomber du camion et un premier album est en préparation. […]
Fink se rappelle de sa rencontre avec Shakespeare, une tragédie dont il n’a rien appris à l’époque.
L’Indiana Jones de la pop, Gruff Rhys n’a toujours pas retrouvé l’arche perdue ni la tribu d’amérindiens parlant gallois recherchée par son ancêtre John Evans en 1792, par contre il maîtrise parfaitement l’art de la mélodie gracile.
Tahiti 80 revient aux affaires à la fin du mois d’octobre 2014 avec un album intitulé Ballroom. De quoi mettre du baume au cœur aux Japonais qui viennent d’être touchés par des typhons. En effet, le groupe y a toujours un accueil dithyrambique.
On a hâte d’atteindre le Vendredi pour se lâcher après une semaine ‘harrastressante’ et sortir ses guibolles pour se trémousser avec les Sauvage.
Avec Joy, on est en route pour la belle vie avec une voix chaude, un ukulélé lumineux, une mélodie qui donne du baume au cœur pour une déambulation en noir et blanc où le soleil du refrain perce la grisaille citadine.
Martin Carr se réveille sans faire Boo avec un nouvel album solo, The Breaks sorti le 25 septembre.
La Lio 2.0 Yelle revient avec un troisième album Complètement Fou le 29 septembre.
Pethrol enflamme l’automne avec un clip mystérieux en noir et blanc.
Attention, titre renversant, groupe naissant et pourtant déjà passionnant, Grand Blanc se dévoile au grand jour et son Degré Zéro donne un coup de chaud à la cold wave à la française.
Encore un très beau clip pour Benjamin Fincher après Long Distance, voici Go outside.
Il fallait des corps et de la peau pour incarner ce titre ultra sensuel de Sarh, U and I du duo composé de DJ Pone et de José Reis Fontao.
Jean-Louis Murat et The Delano Orchestra racontent une histoire vraie.
San Ku Kaï c’était la bataille, ici c’est Bagarre avec Mourir au club.
Frànçois aux yeux de jade et sans foi ni loi séduit la fille aux cheveux de soie.
L’ange James Vincent McMorrow revient à l’affût de nos émotions. Look out est extrait du sensuel et stratosphérique Post Tropical paru en début d’année et qui continue de nous vriller l’âme.
Nonchalance adolescente, petit coin de paradis entre le Lagon bleu et More, sensualité exacerbée, The Words You Said est une ode aux siestes crapuleuses.
Perfume Genius s’entoure de Frères Jacques argentés sur Grid pour une grande bouffe colorée.
« Le sport, c’est de la merde » chantait Jacno. Les Peter Kernel ne sont pas loin d’être d’accord.
Tempus Fugit. Dans les clips contemporains, on est plus habitué à des séances d’effeuillage que d’habillage. Ici, un toréador sur le déclin voit défiler sa vie avant l’estocade finale.
« Rien n’est trop difficile pour la jeunesse. » disait Socrate alors briller comme des étoiles ne devrait pas poser trop de problème au bubble couple The Pirouettes.