“La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime.” écrivait Victor dans L’Homme qui rit. La perte de l’être aimé est sans doute ce qu’il y a de plus violent mais fait écrire une sacrée belle chanson.
Son du jour - page 51
On avait déjà évoqué ici le projet Alen Tagus qui voit se rencontrer Pamela Hute et le pianiste et compositeur de musiques de film portugais Charlie Mancini. Voici un nouveau titre, Black Hole qui fait la part belle à la basse.
“L’être humain est, au fond, un animal sauvage et effroyable. Nous le connaissons seulement dompté et apprivoisé par ce que nous appelons la civilisation.” philosophait Schopenhauer. Ramo, après un premier EP Tout Ira Bien sorti en avril semble moins optimiste avec A Nouveau Sauvages première ritournelle d’un disque à paraître en janvier réalisé par Raphaël […]
Peut être ne connaissez-vous pas encore Angelo De Augustine. On vous prévient, la première écoute rend accro et donne envie de plonger nu dans un lagon bleu. Sa voix est une caresse sensuelle que l’on avait découverte avec un premier EP, Carcassone et un premier album, Swim inside the moon. Le revoilà avec Tomb, un […]
Bigger voit plus grand avec un deuxième EP, Tigthrope qui va sans aucun doute faire entrer ce quintette jurassien dans le rock and roll Circus ! Repéré par les Eurockéennes de Belfort, la Fondation CMA et les Transmusicales de Rennes où ils joueront le 7 décembre, la chance semble donc leur sourire, même si cette […]
Al-Qasar nous ouvre son palais des milles et une nuit métissées où le Moyen Orient côtoie paisiblement l’Occident en créant un son garage du Levant.
On vous avait déjà parlé d’Anthony Ruptak avec son I’ll go where you go qui nous emmenait déjà loin.
On se souvient de la reprise / relecture sur le fil de Novocaïne for the soul par Palatine. Et depuis, le rouge est mis avec un album ciselé, Grand Paon De Nuit qui fait la roue dans notre cerveau.
Les sémaphores des frères Chappe permettaient de communiquer bien avant l’ère du téléphone smart et pourtant leurs tours étaient souvent belles comme celle de Sainte-Foy-lès-Lyon non loin de la chapelle Sainte-Marguerite, construite en octobre 1821. Un temps où l’on faisait attention aux signes et peut être aux gens.
Non, ce n’est pas le générique de la nouvelle saison d’American Horror Story mais le clip du jeune strasbourgeois néo parisien Arthur Ely, A raison ou à tort extrait de son premier EP, Standard à paraître le 23 novembre 2018.
Oubliez les peroxydés de Kajagoogoo, le Hush Hush de No Money Kids est légèrement plus roots, un blues qui ne met pas le blues extrait de leur troisième album, Trouble à paraître le 16 novembre chez Roy Music.
Agoria s’associe à la voix enivrante de Phoebe Killdeer sur cet Embrace, véritable Valse sans Bachir, et c’est du Beau travail !
Joulik vient de sortir un disque, non, un envol vers un ailleurs. A l’écoute d’Adouna, titre en Wolof, on est transporté par la voix, les instruments acoustiques et cette ode à la vie ou ce mantra apaisant, « Adouna nonou la ».
Elle joue du piano debout toute la nuit sans sommeil, Cléa Vincent sur-impressionne avec ce nouveau titre prodrome à un deuxième album en mars et un concert à la Cigale le 9 avril 2019.
Foxwarren est un terrier chasseur de garenne, une localité du Manitoba où habitent les frères Kissick (basse et batterie), et surtout le side project du magicien Andy Shauf dont on attend le prochain album avec impatience. Pour patienter, Foxwarren sort un premier disque le 30 novembre.
Deerhunter sort enfin du bois avec un nouvel album, Why Hasn’t Everything Already Disappeared ? le 19 janvier produit par Cate Le Bon et un premier titre engageant, Death in Midsummer.
Balthazar fait monter la fièvre avec un premier extrait d’un nouvel album à paraître le 25 janvier 2019.
Il y a des EP qui subjuguent davantage qu’un album, Of All The Places Been & Everything The End de Kramies qui vient de sortir chez Hidden Shoal fait partie de ceux-là.
Ca balance pas mal avec de DeSaintex le serial crooner. Voix de velours, mélodie pop entêtante, tout de blanc vêtu, cube plastifié, il séduit et intrigue avec son côté Dexter de la chanson.
On vous a dit tout le bien que l’on pense du tour de passe passe pop
Putain 11 ans ! The Good, The Bad & The Queen sortent un nouvel album, Merrie Land le 16 novembre.
Comment cela, les sirènes n’existent pas ? C’est juste que vous n’avez pas encore rencontré Lisa Ekdahl flanant sur une plage. Elle charme bien sûr avec sa voix mutine mais aussi sur ce titre avec un saxophone soprano qui volute sur l’océan.
Mada’ percute avec Kristel et son nouveau clip, Tonga Indray. On avait déjà évoqué Irony son premier album coup de poing, la voilà qui monte sur le ring pour se mesurer à ses idoles, Michael Jackson, Prince, AC/DC, Maryline, Bruce Lee et bien d’autres.
Paix et amour avec le weirdo Kurt Vile pour ce One Trick Ponies extrait de son nouveau disque en apesanteur, Bottle in it.
Stolen avait volé notre âme au Trans musicales de Rennes en 2016, bien sûr à pieds par la Chine mais surtout avec en passant par Manchester.
C’est le duo français le plus excitant du moment, on a scruté les frangins sur Inter pour une résidence radiophonique, on adore leur pop envoûtante et leurs textes poético-réalistico-lyriques. Les revoilà avec un nouveau titre (et quel titre !), La Nuit Des Parachutes et un nouveau clip.
Mou vous fera bander avec Sensuelle, un titre parfait pour les siestes crapuleuses, les dimanches de procrastination ou pour promener son chien.
« Dreams are my reality » chantait Richard Sanderson et notre cœur avait fait boom. Avec Joe Bel on dit Yes Yes à ses Dreams, un premier album à paraître le 26 octobre chez La Ruche Le Label.
Avec Under the Radar sorti en mai et enregistré avec Ken Stringfellow (REM,The Posies), Jamie Gallienne sort de l’anonymat angevin avec un disque épique et électrique repéré par la patrouille.
Réveil difficile pour le quatuor valentinois Grandepolis et son nouvel EP, Change the Pathway le 9 novembre chez Archipel.