Que font les suisses de La Cabane de Baldwin durant les heures sombres de l’occupation covidienne ? Ils regardent un drôle de programme télé tout en l’accompagnant de leur bande son spleenétique.
Pop - page 19
Victor Solf connait bien les accidents de la vie. Et la volonté de ne pas rentrer dans les cases avec I Don’t Fit, prélude à son futur album après un EP rougeoyant.
Kramies annonce pour cet automne un tout nouveau single, Days Of produit par Patrick Carney de The Black Keys avant un EP avec Jason Lytle de Grandaddy, Tyler Ramsey de Band of Horses et Jerry Becker de Train.
Qui en ces temps contraints ne rêve pas de fuir ? Isabel Sörling avec Flee s’échappe sans bouger et nous ouvre la porte de notre cage intime.
Les albums sur les ruptures sont souvent les meilleurs. En pleine crise sanitaire internationale voilà de quoi satisfaire les heures de couvre-feu, avec une réussite sous forme de pop teintée d’électro pour MED, échappée temporairement du peloton Tahiti 80. Entrevue avec Médéric Gontier (guitariste de Tahiti 80) pour la sortie de son album MED.
Danny Elfman pour beaucoup ce sont les musiques pour Tim Burton ou Gus Van Sant. Plus de cent films au compteur. Avec Love In The Time Of Covid il dévoile notre monstrueuse solitude avec ou sans pandémie.
C’est la fin du monde tel qu’on le connait et je me sens bien chantait les athéniens de R.E.M déjà en 1987. Et l’on vit bien une atmosphère de fin du monde, privés de communion en concert.
Et si Rimbaud rencontrait Roy Orbison, sous acide dans une salle remplie de synthétiseurs, après une fin de soirée dans les rues hantées de la Nouvelle-Orléans ? lit-on sur le site de Guy Blakeslee. Et à l’écoute du tempétueux Postcards From The Edge, c’est Katrina qui s’invite entre nos oreilles.
« Créer, c’est toujours parler de l’enfance. » écrivait Jean Genet. Avec FYRS l’enfance est une matrice qui induit nos comportements d’adulte.
SK* a demandé à une centaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de FYRS qui ne craint pas la douceur avec son EP à paraître le 26 mars et un clip, The Swirl Of […]
A ma gauche, Brisa Roché, chanteuse américaine installée à Paris depuis quelques années. A ma droite, Fred Fortuny, musicien ayant travaillé avec une kyrielle d’artistes dont Da Silva. Au milieu, ce disque, Freeze Where U R, qui réchauffe les cœurs et qui a le parfum des notes de Carole King.
Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! JE Sunde défie l’espace et le temps, il sur-impressionne en trois titres, le déchirant I Don’t Care to Dance, un Wedding ring rempli espérance et le sublime Color […]
Quatre ans après Ayo nommé aux Grammy, Bomba Estéreo revient avec Deja, un album dédié aux quatre éléments « car ils font partie de l’équilibre des êtres humains. »
On s’est aimé d’accord. Laurence-Anne nous fait de l’œil avec la pochette d’Indigo extrait de son futur deuxième album chez Bonsound.
Il y a des conjonctions par la pensée, des combinaisons d’étoiles et l’on est à notre place. Avec Em Meu Lugar, Chico Bernardes balance un coup de boule de douceur, on a envie de le suivre dans sa pérégrination introspective même si penser à l’autre se perd, où l’oubli devient une punition.
Pour faire vite, Gabriel Edé pourrait être le pendant chilien/brésilien de l’italien Andrea Laszlo De Simone avec ses mélodies barrées, ses harmonies bancales, ses arrangements luxuriants.
Buzzy Lee, 30 ans, n’est pas vraiment une découverte. Mais avec son journal intime Spoiled Love c’est assurément une artiste à suivre.
Fredrika Stahl est la fée électricité qui illumine nos nuits sombres. Sa voix douce et chatoyante nous emmène au Pays imaginaire, celui où l’on n’est plus seul, où l’on espère un signe de vie.
High then low. Avec Rescue Me, Fredrika Stahl nous tend un miroir pour lutter contre l’enfermement progressif que cela soit dans nos lieux de vie ou dans nos têtes.
Avec Ce que tu cherches de Léopoldine HH on a trouvé le titre optimiste et dansant pour se trémousser lors du (concon)confinement qui se profile.
Can’t get away, cannot turn the page, I’m a rat in a cage. On est derrière Balthazar, on ne voudrait pas se retrouver sur le sable, le vent en poupe, le cœur en sang.
Se réinventer. Comment ne pas se répéter quand on a une discographie impeccable. En balançant un titre de 11 minutes totalement addictif à écouter lors de vos siestes crapuleuses ou lové à l’arrière des taxis.
Écrit en partie l’hiver dernier sur l’île de la Désirade (Guadeloupe), Providence prend élégamment la suite d’Anti Slogan et nous fait espérer des jours meilleurs avec des chansons puissantes et tenaces.
Les vrais savent. Que n’a t-on dégoisé sur cet ultime album du Floyd pourtant classé numéro 1 chez les brit’ comme il était de bon ton de pisser sur le mur. Alors si le Waters prend peut être l’eau avec son gigantisme sur scène par rapport au Mason qui lui fait la nique, Roger dans […]
Josh croit encore en l’amour, il en faut. Love in vain, in pain, in Spain. Ce nouveau titre est dédié à la mémoire de ses grands parents George et Trudy David.
Croiser l’amour dans un palace décrépi, vivre un temps suspendu, une parenthèse enchantée avec la fille aux yeux les plus solitaires, plonger dans une piscine et avoir du mal à remonter à la surface.
La beauté a un nom est c’est Piers Faccini. Fall or to be reborn nous questionne t-il. On cherche tous un peu cette porte de sortie pour éviter la routine, les emmerdes, les échecs.
Notre Tintin chanteur préféré, le prince de Suède Jay-Jay Johanson revient avec un titre mélancolico-poétique dont il a le secret à base de beats hypnotiques.
SK* a demandé à une vingtaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le retour de Cocoon avec une première, une bande originale de bande dessinée d’un des héros de notre enfance, Spirou. Et cette aventure s’annonce […]
Vera, what has become of you, does anybody else in here feel the way I do ? mélancolisait Roger Waters dans son album sur l’enfermement que les exégètes 3.0 moquent dans leurs salons virtuels.